La canne, la corde et la gourde et les graines de plaisirs !
Datte: 15/06/2019,
Catégories:
fhh,
cérébral,
revede,
massage,
intermast,
entreseins,
légumes,
préservati,
exercice,
conte,
portrait,
délire,
Humour
fantastiqu,
sorcelleri,
Auteur: Cheminamants, Source: Revebebe
... ma façon à moi de scander l’ivresse qui m’enveloppe tout entière, alors je me mets à hurler ma jouissance. Mes contractions vaginales évacuent ma coulée de cyprine.
L’odeur des sexes chauffés à blanc envahit la pièce et je sens la moiteur de la canne au-dessus du préservatif. Filémon s’est retenu pour me laisser profiter jusqu’au bout de mon orgasme. Je ne veux pas me relâcher, je ne veux pas me détendre, et quand je reprends conscience à la fin de ma montée au ciel, quand mon corps me dit que je suis repue, alors je pense à lui.
Je veux qu’il ait un plaisir suprême lui aussi, celui qui le libérera. J’ai envie de sentir au fond de mon sexe les pulsions qui vont délivrer sa sève. J’ai même besoin de recevoir en moi les tressaillements qui me diront à quel point il trouve bon de jouir dans ma féminité. Énergiquement, je reprends mes mouvements pour accompagner ses va-et-vient et je le chauffe à mort, je lui dis des mots d’encouragement un peu cochons. Je lui parle en haletant des qualités exceptionnelles de son bâton et du plaisir infini qu’il me donne.
— Tu es bon… Si tu savais à quel point tu es bon ! Vide-toi en moi, inonde mon ventre, Filémon. À ton tour de te lâcher. Je veux t’entendre jouir, je veux te voir me piler jusqu’à ce que tu aies sorti ta dernière goutte de sève.
— Arrrrhhaaaa…
Il s’est tétanisé et a beuglé jusqu’au râle, enfoncé au plus profond de ma matrice. Puis son cri s’est achevé faute de forces, faute d’air. Ensuite, Filémon est sorti de moi ...
... et s’est allongé sur mon ventre de tout son long. La canne a gardé sa raideur et je sens dans ses fibres de bois comme un cœur qui bat par fortes pulsions. C’est Malvin qui lui a enlevé son préservatif bien rempli de ce qui est sa semence.
Filémon se laisse tomber sur le côté et Malvin reprend ses oscillations, me caressant les cuisses d’un côté puis de l’autre, le ventre et la taille. Il ondule et insiste sur les parties les plus sensibles de mon anatomie. Il s’approche de mon entrecuisse et j’écarte mes jambes pour recevoir tout ce qu’il est capable de me donner pour le plaisir. Pour le sien autant que pour le mien. Mon corps bouge, emporté par ces ravissements et j’arrive rapidement au moment où il faut absolument qu’un sexe masculin me prenne, me remplisse, pousse le fond de mon vagin comme pour m’en donner encore plus. C’est jouissif aussi de sentir le membre de corde augmenter de volume autant qu’une verge en pleine excitation et au bord de la jouissance. Alors, je suis prête ; j’ai envie tout de suite et je le demande, je le réclame, son jus de chanvre, même si ce n’est pas directement en moi, il est pour moi.
— Jouis ! Tu peux ?
Alors il a éclaté de toutes ses cellules végétales dans une contorsion ; toute sa corde s’est mise à faire des ondulations frénétiques et j’ai reçu les vibrations jusqu’au fond de mon antre. Sa jouissance a duré, et elle a été si forte qu’il m’a embarquée dans un orgasme auquel je ne m’attendais pas du tout. Il libère son bout de sa ...