1. L'apprentie


    Datte: 15/06/2019, Catégories: fh, fhhh, couplus, nympho, forêt, boitenuit, douche, collection, amour, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, vidéox, photofilm, BDSM / Fétichisme Masturbation facial, Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, jouet, jeu, attache, init, amourpass, couple, Auteur: Aline Issiée, Source: Revebebe

    ... aussi aux pieds du siège, laissant voir l’intérieur de mon sexe et de mon cul.
    
    Si j’avais ainsi, de moi-même, choisi cette mise en scène, c’était encore en pensant à Vladim : je voulais absolument lui prouver que, dorénavant, il pourrait m’enculer et me faire enculer autant qu’il le souhaiterait. Mais j’avais peur de certaines réactions de mon corps, de ne pouvoir accepter les bites dans mon trou : ainsi attachée, là, je ne pouvais plus reculer…
    
    Laurent et Bruno, après m’avoir ainsi préparée, se présentèrent devant moi et, bien qu’aveuglée par le ruban, je les pris l’un et l’autre dans ma bouche et les suçai un peu. Puis ils me laissèrent, pour aller boire les cocktails que j’avais préparés. Ils venaient de jouir, et il fallait leur laisser le temps de pouvoir rebander… Aussi, couchée ainsi sur le ventre et complètement ouverte, je m’apprêtais à les attendre – et cette attente m’excita tant que je sentis de nouveau mon sexe recommencer à mouiller et à brûler quand, bien plus tôt que je ne le prévoyais, j’entendis des pas approcher. Je n’eus pas le temps de demander si c’était Bruno ou Laurent, car je sentis une queue qui, passant entre mes cuisses, me caressait de haut en bas. Ma position, mes mains liées, ne me permettaient pas de bouger, pas même la tête – aussi tentai-je de simplement goûter le plaisir de sentir ce sexe qui, je le savais, allait bientôt me perforer le cul.
    
    Mais des doigts vinrent alors me caresser, d’une main si douce que mon corps frémit de ...
    ... plaisir : je mouillais si fort que la main inconnue recueillit mon jus, et m’en enduisit le trou qui n’avait jamais encore servi, et enfonça un, puis deux, enfin trois doigts dans mon orifice. J’étais si terriblement excitée que je me mis à gémir, surtout quand je sentis le gland de l’homme prendre la place des doigts, et me pénétrer, peu à peu, dans le cul. Le conduit était serré, la bite devait forcer, mais bizarrement, je ne sentais aucune douleur – simplement un immense plaisir de me sentir prise entièrement, sans aucun espace, par une queue qui commença maintenant un long va-et-vient… Je gémis doucement, et je sentis bientôt les mains de l’homme qui, abandonnant mes fesses qu’elles pétrissaient, vinrent s’occuper, grâce à la disposition de la chaise, de ma chatte et de mon clitoris. J’éprouvai, entre les multiples sensations délicieuses qui m’envahissaient, comme une curieuse sensation : il me semblait que je reconnaissais la douceur de ces doigts, l’exacte pression sur mon sexe, la forme des jambes qui se collaient aux miennes, écartées et liées aux pieds de la chaise… Quand l’homme jouit enfin au plus profond de moi-même, je murmurai :
    
    — Vladim, c’est toi ?
    
    J’entendis la voix de mon mari qui répondit, toujours aussi sourde, basse et sensuelle, qui me disait que oui, il était là et que j’étais enfin complètement sienne, exactement comme il le rêvait depuis tout ce temps où il allait de fille en fille, et que je le remplissais de plaisir : le bonheur qui m’envahit fut ...