1. L'apprentie


    Datte: 15/06/2019, Catégories: fh, fhhh, couplus, nympho, forêt, boitenuit, douche, collection, amour, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, vidéox, photofilm, BDSM / Fétichisme Masturbation facial, Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, jouet, jeu, attache, init, amourpass, couple, Auteur: Aline Issiée, Source: Revebebe

    ... bijoux qui représentaient des attributs sexuels et que je laissais pendre entre mes seins…
    
    Pendant de longues heures, je m’apprêtais ainsi pour le retour de Vladim : je me coiffais et vaporisais de lourds parfums capiteux dans mes cheveux, je m’épilais soigneusement mais en laissant ma toison pubienne recouvrir légèrement mon mont de vénus, je maquillais ma bouche et mes yeux, mais aussi la pointe de mes seins – j’utilisais une crème un peu huileuse, qui en faisait ressortir le rose sombre. Je m’inspirais parfois de ce que je voyais dans certaines revues de la salle de classe, pour mettre en valeur mon sexe et mes fesses – les enduisant de certaines crèmes qui adoucissaient encore ma peau et lui donnaient des saveurs fruitées. Quand j’avais fini, je me regardais dans les glaces triples qui ornaient le salon : et ma propre vue, de face et de dos, commençait déjà à m’exciter… Je m’habillais alors d’une robe « d’intérieur », donc très sexy, mais aussi parfois d’un simple peignoir mais entrouvert sur mon corps, parfois mes seins nus soutenus par mes mains comme pour les offrir… Souvent alors, je prenais une photo de moi par mon téléphone portable et l’envoyais à Vladim – afin qu’il m’assure que ma tenue lui plaisait.
    
    Nous faisions attention à ne pas trop communiquer pendant la journée – les affaires de Vladim, qui lui procuraient l’argent et le luxe dont je profitais, l’occupaient beaucoup, mais cependant, nous nous envoyions des mots d’amour : « tu es ma petite chérie », ...
    ... « je ne pense qu’à toi » – et aussi, par codes, quelques indications. Ainsi, si Vladim écrivait les lettres : « SMTDS », je savais qu’il me demandait de le sucer, tout de suite, dès son retour — à peine aurait-il ouvert la porte. Je me préparais alors en choisissant une des tenues qui lui plaisaient dans ce cas : il aimait en effet, en s’adossant dès la porte franchie, rester debout et me voir à genoux, le regardant, pleine de désir : il voulait pouvoir plonger sa main dans mes cheveux, les relever, et jouer avec les bijoux attachés à mon cou – et il m’avait demandé de porter des soutien-gorge pigeonnants qui semblaient lui offrir, vus d’en haut, un sillon où il pourrait, après la longue pipe, y fourrer sa queue.
    
    Car tout mon apprentissage tournait désormais non plus seulement autour de la découverte de mon propre corps mais des manières dont je pouvais exciter et donner du plaisir au sien, de combler ses désirs d’homme. Je comprenais parfaitement ses leçons, et il me disait que j’étais douée : car enfin, notre plaisir était décuplé quand il était partagé. Grâce à la « salle de classe », et malgré certaines pratiques que nous n’exercions pas, car nous n’avions pas le goût, j’avais appris à lui proposer de moi-même certaines caresses, certains jeux. Il adorait que je prenne des initiatives, et souvent nous avions recours à l’ordinateur pour aller toujours plus loin dans nos jeux amoureux.
    
    Par exemple, après avoir soupé sans interrompre nos caresses, Vladim presque nu, ...
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