SOIREE EN DISCOTHEQUE 2/2
Datte: 14/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... coups de reins énergiques. Les mains crochées dans ses hanches, je la pistonne sans retenue. La pièce résonne des claquements de nos corps qui s’entrechoquent et de nos halètements bestiaux. Rapidement, je me mets à ahanner tandis que ses cris s’intensifient. Notre coït animal nous conduit tous deux à un orgasme irrépressible, et nous nous écroulons l’un sur l’autre.
Sandra se remet en quelques secondes
« Je vais me doucher » déclare t’elle en partant d’une démarche altière, comme si rien ne s’était passé, si ce n’est qu’elle est nue, et que de longues trainées de sperme dégoulinent le long de ses jambes.
Quelques minute plus tard, je la rejoins sous la douche, et m’empresse de lui savonner, le dos, mais mes mains s’égarent rapidement sur ses fesses rebondies. Je masse les deux globes, en glissant mes doigts dans son sillon, jusqu’à sa vulve qui s’ouvre à ma caresse et englouti un, puis deux doigts, tandis qu’un troisième vient chatouiller son anus avant de s’y faufiler. Quelques alleés et venues dans ces conduits, ne suffisent pas à combler la belle qui se retourne vers moi et empoigne ma virilité, qu’elle entreprend de masturber . Sa bouche vient bientôt compléter son travail manuel, me redonnant raideur et vigueur. Dès que j’ai atteint la consistance voulue, elle se suspend à mon cou et vient s’empaler sur mon sceptre. Je la plaque contre le mur et lui imprime un mouvement ample de va-et-vient, en la tenant sous les cuisses. Cette pénétration est amplifiée quand ...
... ses jambes se nouent autour de mon bassin. Mon ventre vient claquer contre le sien et nous haletons bruyamment à la recherche de notre plaisir. Je vois bientôt ses yeux se voiler sous ses paupières mi-closes ; son bassin est pris de secousses brutales, et elle gémit son plaisir dans une plainte entrecoupée de « oui, encore ! plus fort ! mets là bien au fond, je te sens bien ! c’est bon ! »
Avant de me serrer brusquement , son sexe pressant le mien.
Après cet intermède sanitaire joussif, nous gagnons la chambre et nous endormons aussitôt allongés.
Quelques heures plus tard, j’entrouvre les yeux sans pouvoir identifier ce qui m’a tiré de mon sommeil. La lumière du jour filtre à travers les stores en une clarté diffuse. Ma montre indique 7h30. J’entends la douche couler dans la salle de bains. Sandra, dort paisiblement, à plat ventre, une jambe, et une fesse dépassant du drap.
La douche s’est arrêtée, et Karine, enroulée dans une serviette, fait son entrée. Cela pourrait paraître surprenant, mais nous sommes dans sa chambre, et je ne pense pas qu’il y ait un autre lit. D’un geste elle m’intime le silence, en montrant Sandra endormie, puis , en passant par le pied du lit, elle vient, à quatre pattes, se glisser entre Sandra et moi. Elle rabat le drap set la couette sur elle, et me murmure un « bonne nuit » à peine audible avant de fermer les yeux. Je ne me fais pas prier pour retourner illico dans les bras de morphée.
Le soleil amène une clarté plus franche quand je ...