Test amant
Datte: 14/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Michal, Source: Hds
... douceurs insoupçonnées. Tu pourras aussi me parfaire le pubis… j’adore qu’un homme me rase le bas.
Mon propos le surprend un peu, mais avec un sourire à décrocher une lune, il acquiesce sans aucun problème. Je cueille ma petite sacoche sur la table, elle me suit partout celle-là. Je sors un mini rasoir, un truc de femme, un peu de gel et je glisse sous ses fesses une serviette de toilette. Il en profite pour sortir de son côté, des préservatifs, du lubrifiant et un mini toy. L’animal libère largement ses hauts de cuisse comme une femme qui va mettre bas. Je chausse mes lunettes presque neuves et je m’applique à enduire le pubis, les burettes et jusqu’au bord des lèvres anales d’une crème à raser hydratante. Je masse avec le bout des doigts soulevant le phallus qui prend plus d’orgueil. À ce qu’il se laisse faire, sans aucune retenue, cela lui plaît bien évidemment. J’entreprends au bout de quelques minutes le rasage, manuel, avec grande attention. Avec minutie, je déshabille la peau des poils, je prends mon temps, l’endroit est délicat et fragile, il n’y faut pas provoquer la moindre inflammation ou petite coupure. J’ai l’habitude, il y a bien longtemps que mon mari se laisse faire, puis chaque homme et femme que je rencontre dans un lit, j’essuie le rasoir sur la serviette puis je continue jusqu’à rendre glabre tout son bas, ses burnes, son pubis et ses fesses du pied de son sexe jusqu’au bord de l’anus, il faudra qu’il se justifie auprès de sa régulière d’avoir une ...
... peau si douce de bébé à cet endroit. Je l’essuie avec une lingette avec précaution, je sens bien la peau devenue douce, bien douce, lui aussi doit le ressentir bien mieux encore. Je lui fais comprendre qu’il s’agenouille pour parfaire les testicules l’entour des lèvres annales sans qu’il résiste. J’en profite pour y laisser traîner mes doigts pour des caresses sobres et délicates de douceur m’attardant sur ces zones glabres au plus près du pénis et des lèvres anales, sans pour autant les caresser encore. Je sens bien la peau de ces endroits est devenue bien plus douce, plus fraîche aussi, comme une peau neuve, délicate, presque fragile. Le bougre doit bien le percevoir, il se laisse plus encore aller, sans qu’une de ses mains pour autant ne quitte la caresseuse. Puis, je lui tends le rasoir dans ses mains, un sourire prémonitoire se dessine sur son visage, je m’allonge près de lui, sur le dos. J’écarte bien les jambes et je prête mon pubis à toutes les lumières et surtout à son regard pour qu’il finisse le rasage que j’avais bien commencé le matin pourtant au-devant d’un tain bien trop curieux. Je trouvais le rasage convenable, mais l’expérience me dit qu’il n’y a point de perfection à s’épiler soi-même même si on y prend un grand soin. Rien de mieux qu’une troisième main et un autre regard détaché et surtout bien plus près de l’endroit pour qu’il soit plus nu et plus doux, plus jeune aussi, je pense… Je sens la fraîcheur du lubrifiant sur la peau dépilée, cela procure des ...