Le gîte de l'amour - Histoires de Sexe

Le gîte de l'amour

... t’embrasse, lorsqu’il te caresse et même lorsqu’il te pénètre. Et l’orgasme, c’est quand le plaisir que tu ressens atteint son paroxysme et dégage quelque chose de super-puissant qui envahit tout ton corps. Imagine : la jouissance, c’est un volcan qui chauffe et dont la lave commence à remonter, et l’orgasme, c’est l’éruption volcanique, l’explosion finale. Il arrive parfois qu’il y ait l’explosion sans que la lave ait le temps de chauffer. Une sorte de nuée ardente.

Cette nuit-là, Emmanuelle vient coucher avec Jacques après avoir fait l’amour avec son amante. Jacques couvre son corps de baisers, là même où les lèvres de Michèle se sont posées. Arrivé au sexe, il a une surprise : le goût de la mouille de sa compagne n’est pas le même qu’habituellement. Il comprend immédiatement que c’est un mélange des cyprines de Michèle et d’Emmanuelle qu’il déguste.

— Je ne suis pas passée sous la douche.
— Tu n’as pas nettoyé les… de Michèle ?
— Non. Nous avons transpiré ensemble. Nos corps étaient en osmose, nos sexes étaient en contact l’un avec l’autre. Je pensais t’offrir un peu de cet instant.
— Merci, ma chérie : faire l’amour avec toi, encore souillée des sécrétions de Michèle m’excite au plus haut point.

C’est alors avec une passion bien plus forte qu’il enlace sa compagne, qu’il s’empare de son corps, qu’il vient en elle, s’accroche à elle en la prenant en levrette. Les va-et-vient dans son con sont puissants. Puis, sortant sa queue gluante de mouille et toujours ...

... aussi raide, il la présente devant l’anus. Malgré l’absence de tout lubrifiant, il perfore sans difficulté le cul de sa chérie qui feule de plaisir.

— Ça t’a excité de baiser ma copine, hein, petit saligaud ?
— Oh, oui, j’ai pris mon pied, dit-il sans réfléchir. Tu veux ton gode dans ton con ?
— Oui, oh, c’est bon. Ah ! Ah ! Oh oui.
— Tu mouilles terriblement ce soir…
— C’est de savoir qu’à côté il y a une petite salope que tu as fait jouir et qui a joui à nouveau sous ma langue et en frottant sa vulve à la mienne.
— Et là, en t’entendant prendre ton pied, elle n’est pas en train de se branler ?
— J’en suis certaine. Oh, oui, ne t’arrête pas. Je… je jouis, oh, ouuuiiii !

Jacques accompagne Emmanuelle dans la jouissance en déversant son jus dans son cul. Il stoppe ses mouvements, mais ne se retire pas.

— Ça me fait drôle de savoir que ta queue, celle qui est encore dans mon cul, est venue souiller le con gluant de Michèle.
— On dirait que tu regrettes. Je te rappelle que c’est toi qui m’y as incité.
— Non, ce n’est pas ça. Ce qu’il y a, c’est que Michèle n’a jamais trompé son mari. Ce gros con était son premier homme. Il lui a laissé la liberté de se faire prendre par d’autres hommes. La seule fois où elle a accepté, ça a été un désastre. Et toi tu arrives, et illico elle flashe sur toi, elle se balade à poil pour que tu la baises sur place. Et lorsqu’elle arrive à ses fins, elle jouit.
— Tu pensais qu’elle n’allait pas jouir ?
— Ce n’était pas gagné, même si tu ...