1. Le sorbet érotique


    Datte: 13/06/2019, Catégories: fh, fplusag, poilu(e)s, hotel, cérébral, revede, ffontaine, Oral fist, jeu, yeuxbandés, nonéro, journal, confession, Auteur: Redcode, Source: Revebebe

    ... bas-ventre se mit à me brûler, la torsion frappante du sexe à venir, de votre oursitude, votre virilité montait entre mes cuisses.
    
    Votre gland sorti de sa tanière s’amusait avec mon pubis, le pressant de son jus… Toujours plaquée au mur, culotte maintenant aux chevilles vous me mettiez à nu, palpant, caressant mes intimités de vos doigts et de votre langue. Le premier mot prononcé fut un :
    
    — Vous m’avez manqué, suivi d’un : chhhhuuuuuuttt.
    
    J’avais un troupeau de gazelles sautillant dans le bas-ventre, ma chatte à se débattre et supplier d’être possédée et envahie, je me débattais à ne pas saisir votre chibre et l’enfiler dans ma chatte, ou pire dans ma gorge.
    
    Entendiez-vous mes supplications muettes ? Parce que c’est précisément à ce moment que votre queue transperça ma chatte, un coup sec, viril, dur et bestial… un inattendu attendu.
    
    Coups de reins, et moi bandée encore, votre sexe dans mon cortex vous me baisiez jusqu’au front !
    
    Mes seins « obuesques » à percuter votre poitrail, le musc dans mes narines, la dureté des pénétrations… j’aimais ça !
    
    Je me mis à gémir, feuler et serrer mes mains contre votre nuque, pendue à votre cou, femelle en rut, animale. L’attente avait été trop longue, nos orgasmes se mêlèrent dans une ...
    ... sauvagerie sonore. Aveugle, je percevais cependant toute la force de cette scène.
    
    Votre sperme de titan à exploser votre queue au fond de ma chatte qui maladroitement se hasardait à balancer son propre jus… débauche liquide et sonore de « flocs »… je jouissais dans une retenue de souffles et en cris saccadés, accrochée à votre tête. Vos grognements, vos jambes raidies, un élan comme un uppercut, notre KO !
    
    Un claquement jouissif, grand et explosif !
    
    Bordel la débauche, l’intense, la baise à la hussarde, rapide et vive, libératrice !
    
    Chienne de luxure !
    
    Vous libériez tous les désirs montants de ces derniers jours, les joutes manquées aussi.
    
    Vous avoir entre mes cuisses, je me sentais habitée du vice, il reviendrait à moi insatiable la nuit durant. Votre endurance n’égalant que mon appétit.
    
    Durant ce court trajet qui me menait à vous, je me plaisais à imaginer cette rencontre inévitable, à fantasmer yeux mis clos en écoutant la litanie mécanique de cette rame de métro… L’esprit vagabond se recentrait sur les moments à venir oubliant les troubles des jours et heures passées.
    
    La rame stoppa : « terminus… »
    
    Il me fallait maintenant aller jouir du réel.
    
    Prête à affronter l’abandon… l’alchimie intrigante du Baron, la saga allait reprendre. 
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