Au bord de la nationale 4...
Datte: 12/06/2019,
Catégories:
Gay
Masturbation
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Hollywood77, Source: xHamster
Dans « Chasseur d’escargots », publié sur ce site hier, je vous disais que j’ai passé ma vie à me promener nu dans la nature. Je vous ai dit combien les sensations éprouvées à le faire me procuraient un plaisir intense.
Près de chez moi, il y avait une forêt où, bien entendu, je me rendais très régulièrement pour courir et, le plus souvent, pour me mettre à poil. Et m’exhiber, si possible, bien entendu. Mais c’était selon l’humeur du moment : il y a des jours où j’aurais montré ma bite – que j’ai très sympa - à n’importe qui et d’autres où je me contentais de faire mon « running » comme on dit aujourd’hui. Mais, de façon à être toujours prêt à répondre à la moindre pulsion et me désaper rapidement, je partais courir avec seulement un T-shirt et un short sans rien en dessous. En deux secondes, j’étais à poil et être ainsi en pleine nature, c’était grandiose.
Mes « promenades » m’amenaient dans deux endroits au choix : soit au bord d’une route très passante, la nationale 4, soit sur une grande butte de terre, assez sauvage, pleine d’herbes folles qui me chatouillaient la bite quand je marchais. Au bord de la route, j’ai eu mes heures de gloire : les routiers n’étaient pas avares en klaxons et appels de phare quand ils m’apercevaient... mais ils ne pouvaient pas s’arrêter. J’aimais aller au bord de cette route le samedi matin, au moment où le trafic était ralenti à cause des départs en week-end. Là, les gens en voiture avaient tout le temps de me mater. Un jour, un car ...
... s’est arrêté juste en face du chemin qui débouchait sur la route et l’accueil a été génial ! Une jeune femme m’a même montré ses seins !
Aujourd’hui, je ne le fais plus car tout le monde est équipé de portables avec fonction photo et ça pourrait m’être fatal !
Une autre fois encore, j’arrivais, à poil comme toujours et en totale érection, au bord de la route quand je vis un artisan qui avait arrêté sa camionnette 10 ou 20 mètres avant et qui était en train de pisser. Lui aussi m’a vu dès que j’ai fait mon apparition au bord de la route. Il s’est alors tourné vers moi et m’a ostensiblement montré sa grosse bite. Tandis qu’un camion passait en klaxonnant à tout va, moi, je me suis branlé devant lui quelques secondes et je suis rentré sous le couvert des arbres. Il a compris que c’était une invite et il m’a suivi.
C’est un type, pas très grand, qui devait avoir la cinquantaine, barbe de 3 jours poivre et sel, et portugais d’origine d’après son accent. Je l’attendais en me branlant sous un arbre. Il arriva, bite en avant, les yeux exorbités fixés sur ma quéquette dont il s’est aussitôt emparé. J’ai fait de même avec la sienne. Il semblait aux anges. Mon expérience avec le chasseur d’escargots s’était passée à quelques dizaines de mètres de là et j’en gardais le goût de sa bite en bouche. J’avais aimé la sucer et la faire juter. Alors, avec le Portugais, je n’hésitais pas quand il me demanda :
- Soucé ma bite !
- D’accord mais tu suceras la mienne aussi !
- Sim, sim ...