1. Le 31 décembre, on défonce à fond (Partie 2)


    Datte: 12/06/2019, Catégories: Anal Gay Partouze / Groupe Auteur: etienneguy48, Source: xHamster

    Le matin venu, il était près de dix heures, la porte de ma chambre s'ouvrit, laissant entrer mon valet qui, je le remarquai, fixa mon amant nocturne pendant quelques secondes et sa mimique exprimait clairement son mécontentement. Il est vrai que je lui avais promis qu'il pourrait me rejoindre une fois sa journée terminée mais la réalité avait été toute autre. Il me salua d'un "monsieur le duc a bien dormi" avant de poursuivre pour m'annoncer que j'étais attendu à la salle à manger pour dix heures trente.
    
    - J'imagine que monsieur portera un jeans ce matin?
    
    - Si je le peux, bien entendu, lui répondis-je en quittant la chaleur des draps, complètement nu, pour me rendre à la salle de bain, histoire de me brosser les dents.
    
    - Monsieur le marquis devrait retrouver sa chambre, entendis-je. Votre valet vous attend.
    
    Il était donc réveillé et je le rejoignis, l'embrassant tendrement pour lui souhaiter une merveilleuse journée. Il se leva, enfila son pantalon et quitta ma chambre, un large sourire aux lèvres.
    
    Une fois habillé, je descendis à la salle à manger pour y rejoindre mes amis. La grande table était garnie de viennoiseries mais moi, tout ce dont je voulais, c'était un café. Je commandai donc un latté au valet de pied attitré à l'immense machine commerciale. Je pris place, me servant un pain au chocolat et un croissant aux amandes. La plupart des convives s'y trouvaient mais tous remarquèrent l'absence de Denis et Sylvain. Les connaissant, ils préparaient quelque ...
    ... chose.
    
    Je remontai donc à ma chambre pour y prendre une douche, sans l'aide de mon valet par contre, lorsque je sorti de la salle de bain, je le trouvai là, mon jeans en main. Je m'approchai de lui tandis qu'il s'agenouillait, me présentant le vêtement pour que j'y glisse mes jambes. Son visage était si proche de moi que je pouvais sentir son souffle sur ma queue et, comme je m'y attendais, il la prit en bouche, la suçant avidement. Quelques secondes suffirent pour que je jouisse, lui remplissant la gueule de mon foutre chaud et visqueux qu'il avala avec plaisir. Il termina de me vêtir avant de m'aviser que je devais me rendre au grand salon où les maîtres attendaient tous les invités.
    
    Je m'y rendis donc immédiatement, trouvant Denis et Sylvain discutant avec les uns et les autres, jouant parfaitement leur rôle d'hôte. Je me demandais bien ce qui nous attendait mais je n'eu pas à attendre bien longtemps pour le savoir.
    
    - Il est temps maintenant d'enfiler vos manteaux et vos bottes. Des carrioles nous attendent.
    
    Des carrioles? Pour nous amener où?
    
    Effectivement, trois carrioles tirées par de magnifiques chevaux s'emplirent de mecs tous excités par ce qui pouvait nous attendre mais moi, j'avoue que mon excitation provenait beaucoup plus du gars qui se tenait assis devant moi. Je l'avais bien remarqué la veille mais sans plus, trop occupé à jouer avec mon bel arabe mais là, je ne pouvais ignorer cette beauté à la chevelure blonde qui caressait ses épaules. C'était ...
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