Sylvie, un adultère consenti (Partie 3) - Histoires de Sexe

Sylvie, un adultère consenti (Partie 3)

... simultanées.

- Ça ne dérangera pas le client, ni toi, que je mets un jean ? c’est pour être plus alaise ce soir dans les transports.

- Ne t’inquiète pas surtout que ça se passe super bien donc pas nécessaire de soigner plus notre communication.

- Et quand tu mets un jean, que mets-tu en dessous ?

- Toi tu es coquin.

- En temps normal, je ne demande pas aux femmes ce qu’elle porte mais j’essaye de l’imaginer, mais avec toi c’est différent, je peux me permettre de demander.

- Je ne te dirai rien, répond-elle en souriant quand elle sort ses affaires.

Même si Sylvie n’a rien dit, Eric qui était à côté d’elle a bien vu ce qu’elle mettait pendant que lui aussi s’habillait. Ce qui est amusant avec Sylvie c’est qu’elle commence toujours par mettre le haut, les bas et son bas.

- Ton ensemble en satin noir, ressemble beaucoup à ton rose.

- C’est le même sauf la couleur.

- Il a aussi une ouverture ?

- Ah non pas celui-là.

- Tu ne mets pas de porte jarretelle ?

- Sous le jean moulant, les jarretelles sont trop visibles c’est pour cela que je mets des bas auto-fixant.

Après sa lingerie, elle enfile son jean, puis ses bottes avant d’aller dans la salle de bain se maquiller. De retour elle enfile un chemisier blanc et ...

... sa veste noire.

- C’est classe tout en étant décontracté, moi j’aime beaucoup.

- Je te remercie.

- Et moi je sais maintenant ce que tu portes en dessous et je me dis que c'est tout à fait ton style. Même si je ne demande pas aux femmes, j'ai l'impression qu'elles négligent ce qui ne se voit pas.

- Sur ce point je te confirme, pour en avoir échangée avec d'autres femmes, car moi je peux poser la question et oui elles se négligent.

- Je m'en doutais.

- On fait quoi des affaires que tu m'as apportées ?

- Je te propose de les mettre dans un sac de voyage que je laisserai sous clé dans mon bureau. Et quand nous ferons d'autres déplacements ensemble tu me diras si je dois le prendre ou pas.

- Si tu veux, mais tu l'enfermes bien à clé, car il ne faudrait pas que quelqu'un tombe dessus.

- Personne n'a à fouiller dans mon bureau et si le cas venait à se présenter, je serai m'en occupé avec une définitive à la clé.

Après avoir fini de préparer leurs affaires, ils ont pris leur petit-déjeuner avant d'aller chez le client. La journée s'est aussi bien passée que les autres, mais avec le voyage et les encombrements à l'arrivée, le retour était un peu long. Eric était passé déposer le sac dans son bureau avant de rentrer chez lui.