1. Histoire vraie : ma vie avec Greg (1)


    Datte: 11/06/2019, Catégories: Première fois Auteur: Axelya, Source: xHamster

    ... de ceux-là. Je cavalai dans l’escalier pour le rejoindre.
    
    Je me tenais au bord du bassin. Il me regardait. D’un geste je fis tomber le peignoir de bain. Je voulais que le message soit clair sans être trop explicite, j’avais donc gardé mon slip. Un tout petit slip rose. Dans ses yeux je lus la surprise. La sage, la timide Axelya ne se comportait pas ainsi. Elle ne s’exposait pas, à moitié nue, devant un homme.
    
    Je plongeai sans lui laisser le temps de se reprendre et nageai vers lui. Au moment du contact, je pressai sur ses épaules pour lui enfoncer la tête sous l’eau. Il est beaucoup plus fort que moi, il aurait pu résister mais il se laissa faire. Quand il refit surface, il riait. Nous chahutâmes ainsi un moment. Je finis par me coller à lui, mes seins contre sa poitrine.
    
    - Axelle... la situation devient gênante… dit-il.
    
    - Pourquoi ? Je ne suis plus une gamine ! lui répondis-je.
    
    - C’est bien le problème. Je vais sortir de l’eau.
    
    Il s’allongea sur un transat pour sécher au soleil. Je m’assis à côté, pour regarder son corps musclé, sa peau constellée de gouttelettes d’eau.
    
    - Je peux te faire un câlin ?
    
    Il rit : « viens ».
    
    Je m’allongeai contre lui et posai ma tête au creux de son épaule. Mon regard se posa sur son slip de bain. Une bosse le déformait, trahissant son émoi.
    
    - Tu ne veux pas parler ? lui dis-je au bout d’un moment.
    
    - Si. Quel surnom m'as-tu donné ?
    
    - Je…
    
    - Tonton Greg. Tu m’appelles tonton Greg. Je suis un peu un oncle par alliance. Tu vois ?
    
    - Laisse tomber.
    
    Je me levai, saisis le peignoir avant de repartir dans ma chambre. Je posai un casque sur mes oreilles, sélectionnai un album de Bathory. Le son poussé à fond, je pensai à toutes ces morts tragiques de musiciens de Black Metal, partis trop tôt, victimes de leurs excès ou de la folie des autres, dans leur pays si froid. Toute à ces idées morbides, je n’adressai plus la parole à Greg de la journée.
    
    A suivre...
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