1. La Caissière (Envie Pressante)


    Datte: 11/06/2019, Catégories: h, fh, inconnu, nympho, gros(ses), grosseins, groscul, fépilée, toilettes, odeurs, Masturbation Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, scato, occasion, Auteur: @+ch0uM, Source: Revebebe

    ... pièce s’éclaire de la lumière blafarde d’une paire de tubes au néon, dont l’un se met aussitôt à clignoter et à grésiller d’une manière assez désagréable. Nous sommes à l’antichambre des chiottes, à gauche pour les hommes, à droite pour les femmes.
    
    Ma caissière fait alors volte-face et, avec ce même sourire enjôleur dont elle me gratifie depuis tout à l’heure, elle me demande :
    
    — Vous voulez bien, z’êtes sûr ?…
    — Euh… Oui, bien sûr… Certain ! dis-je en hochant la tête.
    — …Pasque des fois, les mecs, y-z-assurent pas, et en arrivant ici, y s’barrent en courant.
    — Ben… J’vois pas pourquoi, Belle Dame ! lui réponds-je en esquissant un rictus gêné.
    
    Elle me prend la main, pousse la porte des toilettes des femmes, allume la lumière et me tire à l’intérieur puis, me lâchant, elle entre directement dans la cabine qui fait face à un lavabo surmonté d’un miroir et j’entends la lunette se rabattre avec fracas sur la cuvette.
    
    Deux pas plus loin, face à la porte restée ouverte, je reste stupéfait : elle a baissé sa large culotte en coton à ses chevilles, relevé sa jupe à la taille sans enlever son manteau et elle est en train de pisser, longuement, abondamment, devant moi, en continuant de me fixer de ses yeux ensorceleurs qui semblent luire dans l’ombre de ce réduit exigu. Tiens, elle se rase la chatte. Pas de doute, ce n’est pas le duvet discret d’une vraie blonde, ni un élégant ticket de métro soigneusement entretenu, non, là, c’est complètement glabre, Tchernobyl, ...
    ... Hiroshima, avec les taches rougeâtres des poils qui se retournent et s’infectent en repoussant.
    
    — V’nez ici, me fait-elle en me faisant signe de la main de m’approcher.
    
    Je m’approche d’elle, inquiet de voir débouler un intrus, même si près de l’heure de la fermeture. J’appuie sur l’interrupteur de la cabine et celle-ci s’illumine d’une lumière jaunâtre qui fait paraître les murs encore plus sales. Elle attrape ma ceinture et me tire jusqu’à elle, défait la boucle d’un geste leste.
    
    Clac ! Mon bouton a sauté, dans le même geste elle me descend pantalon et slip jusqu’aux chevilles, et avant que je comprenne ce qui m’arrive, elle est déjà en train de malaxer mes couilles d’une main et de soulever mon pénis à deux doigts en le tenant par le prépuce. Elle le renifle avec une moue dégoûtée :
    
    — Bouh ! Il est pas tout frais, vot’ pissou !
    — Ben… Ç’t’à dire… Je…
    
    Et avant que j’aie pu entamer la moindre explication, elle décoche un long coup de langue sous mon sexe rabougri, un lapement baveux qui m’électrise des cheveux aux orteils, un truc violent, indescriptible, comme je n’en avais jamais senti, et qui a pour premier effet de me faire redevenir un peu plus… mâle. En une seule lapée, j’en reviens pas !
    
    Assez fière de son effet, elle pose sa lèvre supérieure sur mon gland, y dépose quelques baisers courts et rapprochés, comme si elle me grignotait, puis elle fait coulisser sa langue d’avant en arrière sur le frein, en plantant à nouveau ses yeux dans les miens. C’est le ...
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