1. Une passe ? Je trépasse.


    Datte: 03/03/2018, Catégories: fh, hh, hplusag, prost, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, journal, confession, Humour Auteur: Alexina, Source: Revebebe

    ... découvre son cadeau !
    
    — Lèche-moi… entends-je. C’est une voix lointaine, qui vient de l’autre bout de ce corps que j’ai arpenté avec ferveur.
    
    Ce n’est pas la prière d’une femme en quête d’extase… c’est la comptable qui veut que je lui règle son compte… alors que moi j’étais dans un conte à mettre debout ma queue, un conte de cul-te ! Je roule sur le lit avec une grâce de panda anorexique (ne me demandez pas pourquoi cette image !) et ma tête vient se loger entre leshémistiches des cuisses de Cynthia… Sus à la césure ! Mes narines, écarquillées comme des yeux, hument un arôme d’entrailles… mentholées ! Et pour le coup, ce n’est pas une figure de style, ni un artifice d’écrivaillon… Cynthia a dû, préalablement à nos effusions (je ris !), s’oindre le coquelicot avec une quelconque crémasse à la menthe…
    
    « Pour l’odeur de la femme, me dis-je, tu repasseras ». J’aurais pourtant, tant… tant aimé respirer les effluves authentiques, pittoresques peut-être, typiques sûrement, de la belle… Mais voilà qu’elle me sert son V à la menthe !
    
    Contre mauvais parfum, je fais bonne langue : j’alexandrine, je rimaille le cœur de sa chatte, comme d’autres estoquent etcyranosent. (À la fin de l’envoi, je touche !). J’engloutis mon vaisseau lingual dans ses algues au goût de menthe ! Les parfums et les goûts se répondent… malheureusement !
    
    Dieux ! Que j’aime, malgré tout, palmer de la langue dans l’antre de son intime ventre. Je m’enlise avec délice dans sa substance intime, ...
    ... gourmand, vorace même. Je suis allé le plus loin possible dans la chatte offerte… plus loin, j’y égarais ma langue, elle s’en allait sans moi ! Mais j’ai beau récurer ses profondeurs marines, Olympia ne bronche pas… ou peu. Elle ne se donne même pas la peine de simuler pour me stimuler… Alors je me stimule tout seul… Bon sang, j’ai cent francs de supplément au bout de la langue, il faut à tout prix que j’en profite. Et mon membre – cette fois je peux le désigner ainsi, mais n’allez pas imaginer non plus qu’il a la taille d’une pine de cheval ! – est d’accord avec moi… Pour une fois que nous nous entendons ! Il est gonflé à bloc, rigide, tendu, au bord de la crise de nerfs !
    
    J’ai tenté de converser un moment avec Monsieur Clitoris (il pourrait sans doute m’en raconter de belles). Toutefois, le petit chauve, raidi, si joliment nacré, est peu disert… Il se laisse taquiner, lécher, sucer, sans manifester plus que cela de reconnaissance. C’est à peine s’il daigne se décapuchonner ! J’achève mon ouvrage en aspirant dans ma bouche les juteuses petites lèvres de la vulve… j’ai envie de les mâcher, de les mastiquer, d’en revêtir ma langue pour de bon… feuille de rose à volonté ! Tu me les prêtes, Cynthia ?…
    
    — Qu’avez-vous sur la langue ?
    — Un souvenir de la rue Saint-Denis !
    — C’est très kitsch… une nouvelle mode ? Après lady Gaga en robe de viande, la langue en peau de vulve ?
    
    Arrête ton délire… Et tu fais toujours dans l’anachronisme !
    
    J’ai oublié comment je me suis retrouvé ...