1. Les outrances d'un prêtre


    Datte: 11/06/2019, Catégories: f, h, fh, ff, fbi, hplusag, uniforme, bizarre, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, Masturbation entreseins, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, lavement, attache, BDSM / Fétichisme bougie, fouetfesse, init, théatre, Humour Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... prêt
    
    À dire ce que Dieu, dans sa sagesse, pense.
    
    Scène 2
    
    Le prêtre, seul.
    
    Prêtre
    
    Cette jeune femme a de terribles façons
    
    D’exprimer son péché et décrire son geste
    
    Qui provoquent chez moi de très violents frissons.
    
    Il faut absolument que fort je l’admoneste !
    
    Sa beauté n’a d’égal que son sourire exquis,
    
    Car je suis si sensible aux ors des jouvencelles
    
    Que ne puis garder l’ascétisme requis
    
    Par la situation : mon âme se morcelle !
    
    J’ai déjà remarqué, assise sur son banc,
    
    Entre ses deux parents, sagement, cette oie blanche.
    
    Elle n’est pas futée : à son air c’est probant ;
    
    Je ferai ma proie de l’oiselle du dimanche.
    
    La belle est ingénue, et grâce à sa candeur
    
    Je ferai ce qu’il faut pour capturer ses charmes.
    
    Je suis tant attiré par cette exquise odeur
    
    De sa transpiration qu’il faut rendre les armes.
    
    Naguère j’étais fier de ma sombre droiture.
    
    Je regardais les femmes avec quelque dédain
    
    En condamnant les gens vautrés dans la luxure
    
    Où je vais me plonger par un désir soudain !
    
    Manipulons-la donc, ce qui sera facile
    
    Car elle ignore tout des choses du plaisir.
    
    Mon âme est enflammée pour son beau corps gracile.
    
    L’instinct de copuler est venu me saisir.
    
    Voyons : il y a un trou dans le mur des toilettes
    
    Permettant d’observer d’ici facilement
    
    Les belles qui se croient tranquilles et seulettes.
    
    J’aime bien regarder, occasionnellement.
    
    Oh ! Sa peau est à nu d’une façon totale
    
    Et voilà qu’à ...
    ... présent je la vois se toucher !
    
    Elle vient d’écarter, les nymphes, ces pétales,
    
    S’enfonçant plus encore à fond dans son péché !
    
    Mais voici qu’elle urine en un long jet torride,
    
    Une touffe de poils d’où s’écoule l’ondée :
    
    Tout cela me procure une érection solide.
    
    Il me faudra fesser cette dévergondée !
    
    Pour s’essuyer il faut qu’elle écarte les cuisses ;
    
    Je la vois s’effleurer un peu le clitoris.
    
    De la noire Lilith c’est vivante esquisse.
    
    Son sexe est une fleur, un étonnant iris !
    
    Aurai-je le bonheur d’observer qu’elle jouisse,
    
    Qu’elle aille jusqu’au bout du plaisir féminin ?
    
    Aurais-je deviné que tant elle m’éblouisse ?
    
    Son sourire pourtant m’avait semblé bénin.
    
    J’ai en mémoire la paroissienne fidèle
    
    Vêtue très simplement lors des célébrations,
    
    La chrétienne zélée que je donne en modèle,
    
    Toujours bien à genoux pour la prosternation.
    
    Quelle transformation ! Elle semblait si sage
    
    Avec sa robe blanche entre ses deux parents…
    
    Mais voici maintenant d’elle un nouveau visage :
    
    De sa nature vraie je fus tant ignorant.
    
    Quand elle était enfant, elle se confessait
    
    Pour avoir oublié de dire ses prières.
    
    Elle écoutait, tout ouïe, lorsque je professais
    
    L’Évangile : la plus sage des écolières.
    
    Aujourd’hui, j’ai vu que son corsage est rempli
    
    Par deux jolis seins blancs absolument sublimes.
    
    Que de transformations le temps a accompli,
    
    Toujours avec des yeux qui tant de joie expriment !
    
    Une fois retirée, ...
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