Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (13) - Histoires de Sexe

Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (13)

Qu’elle est belle ma jolie jeune noire attachée par les poignets et les chevilles à la croix de St André. Je pars et je téléphone à Aurélie, mon esthéticienne.

— Aurélie... Oui C’est Jean... Peux-tu venir avec ton matos ?... Oui, je pense qu’elle y est prête... OK... Oui, je laisse la porte ouverte.

Je rejoins Mélissa qui brille de transpiration. Je lui palpe les seins, lu tire les lèvres intimes avec ses piercings. Putain, elle mouille ! !!

Je lui annonce la venue d’Aurélie, qu’elle va la marquer au fer rouge. Elle tremble.

— As-tu peur ?

— Non, je veux que vous soyez fier de moi. J’ai hâte.

Je la laisse ainsi attachée et je vais retrouver Pierrot. Ce grand gaillard est bien occupé. Il est assis sur la margelle de la piscine avec la petite Cendrine entre ses jambes en train de le pomper. Quant à Li et Gégé, elles sont en plein 69. Je me sers un rosé et m’installe en admirant ce joli spectacle. Il m’aperçoit. Il me sourit et appuie sur la tête de la pauvre Cendrine qui est obligée de subir.

— Jean, Jean...

Ce doit être Aurélie. Je la rejoins dans le salon où elle bave d’envie sur ma machine. Je lui dis que si un jour elle veut l’essayer avec Valérie, sa copine... Elle rigole et me dit que c’est une excellente idée. Connaissant la maison, elle me précède dans la chambre.

— Bien, déjà entravée, super...

Elle dépose sa valise sur ma table. Elle se passe des gants chirurgicaux et fait chauffer sa machine. Cela ressemble à un fer à souder, mais en ...

... plus classe. Elle me montre une série de lettres forgées, des diablotins et bien d’autres choses tous aussi coquines les unes que les autres.

Mon dévolue se porte sur un de ces diablotins avec des attributs immenses entre les jambes et de deux lettres gothiques. Un M et un J, pour Maître Jean.

Ne demandant pas le choix à Mél, elle fixe le tout sur un support et désinfecte la peau à gauche du pubis de la suppliciée. Mélissa tremble et pleure.

— Courage, ma puce. Tu voulais devenir ma chose et bien tu vas le devenir. Après cela tu seras mienne. N’est-ce pas que tu veux.

— Si... Mais j’ai un peu peur.

Sans la prévenir, Aurélie a appliqué l’appareil à l’endroit voulu. Ça fume un peu et ça sent un peu le barbecue. Une fois l’appareil retiré, on peut voir le charmant diablotin ainsi que les deux lettres.

— Ne t’inquiète pas, là c’est grossier, mais d’ici deux ou trois jours. Parfait, dit-elle en passant de la Biafine sur les cicatrices de Mél, ma Mél.

Je tourne le dos à ma charmante black et demande de continuer son marquage avec les lettres que je lui tends. Trois lettres, un "MEL" à apposer sur sa fesse droite. Discrètement, elle prépare son instrument de torture. Moi, en vieille hypocrite, j’embrasse Mélissa. C’est le moment qu’Aurélie choisit pour lui appliquer l’ultime marquage.

— Désolé, ma puce. Mais...

— Non, je suis fière et honorée de vous appartenir... Mais...

— Mais ?

— Je ne m’y attendais pas. Pas aujourd’hui.

Je passe derrière elle et ...