1. Se branler...


    Datte: 10/06/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Akileditu, Source: Hds

    ... Là, elle a carrément décollé, ne touchant plus du tout mon ventre.. Du bout de trois doigts, en l’effleurant à peine, je commence à la parcourir de bas en haut. Je sens la peau fine qui glisse doucement. Trop bon ! Je remonte très très lentement jusqu’au gland que je décalotte doucement. La peau du prépuce se tend et libère complètement mon gland ruisselant de mouille. C’est le moment de m’amuser avec le frein du prépuce. Les garçons, on sait tous que c’est le point G de notre bite. L’endroit le plus sensible. Celui qui nous fait grimper au ciel. Alors, justement, il faut y aller tout doux. Je me mets un peu de mouille sur le bout de l’index et je le pose sur le frein en le faisant tourner doucement….Aaaaah ! Trop trop bon !!! Je sais que les filles font pareil avec leur clito. Ca inonde dans toute ma queue. Je m’enduis complètement la paume de la main avec ma mouille. J’aime ce contact. On dirait du gel chaud. Très très progressivement, j’accélère un tout petit peu la cadence de mes allées et venues. Alternant la prise en main complète de ma bite et le bout des doigts seulement. Alors, je la prends doucement à deux mains ; l’une derrière l’autre. Mon gland dépasse tout juste de la hauteur de sa tête de mes mains. J’en ai plein les deux mains. J’adore. C’est ce moment là que je peux faire durer très très longtemps. Il suffit de ne pas s’emballer. Je sens bien les grosses veines gorgées de sang chaud dans ma main. C’est la vie qui circule.
    
    J’adore aussi me faire branler ...
    ... mais, parfois, le partenaire ne fait pas exactement ce qu’on voudrait à un instant précis. Ou alors, il faut lui dire ce qu’on aimerait. Paulo adore ça, qu’on lui dise…Moi aussi j’aime ça, même que ça m’excite grave de le guider ainsi… Quand je me branle, je laisse toujours la lumière allumée. J’ai besoin de voir. Ca me stimule encore plus. Et je peux même ainsi offrir un spectacle chaud à mes voisins d’en face. Mais, si je me mets à penser à Paulo, à ce moment là, j’éteins ! Et alors je l’interpelle :
    
    « Ooooh, meu Paulo ! » J’imagine que c’est Paulo qui me fait tout ça.
    
    C’est souvent à cet instant, que commence vraiment la branle. A partir de là, je sais que je ne réduirai plus la cadence.. Au contraire. Cette fois, je ne lâche plus ma bite que j’ai empoignée à pleine main. Mon autre main enserre mes couilles et mon majeur cherche ma rondelle. Allez ! Un peu plus vite encore. Je sais que je suis loin d’être à fond. Là aussi, je peux faire durer. Ca dépend de mon degré d’excitation, en fait. Putain ! Comment on peut se passer de ça ? Pourquoi ? Y’a pas de mal à se faire du bien, non ? Bien sûr, c’est mieux à deux ! Mais quand on est seul… J’entends de petits couinements. Ca doit être la peau du prépuce qui chuinte sur le gland. Je préfère nettement les bites non circoncises - sans préjugé religieux aucun -. A cette phase, j’empoigne le bout de ma bite, englobant tout mon gland dans ma main. Elle ne bougera plus de là. A l’éjac, soit je la décalerai légèrement pour tout ...