Yvonne Ch. 01
Datte: 09/06/2019,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: byromane, Source: Literotica
... tiroir de la commode.
« - Morane, tu m'as excitée comme une folle, je voudrais jouir tout de suite. Pénètre moi avec ce vibro » et elle lui glissa dans la main un appareil couleur chair, de taille moyenne.
Morane mis l'appareil en marche, il n'était pas très bruyant, sa vibration était douce dans la main, elle commença à promener le gros tube sur la base du sein. Ronnie amena fermement sa main vers sa vulve.
« - Vas-y appuie, oui... là... c'est bon... aaah... ma chérie... aaah...! » gémissait Ronnie
La pointe du vibro titillait le bas de la vulve, la partie cylindrique, branlait le clitoris. Ronnie se trémoussait de plus en plus fort, Morane, excitée à son tour embrassait les seins, aspirait les mamelons.
« Enfonce! ...Enfonce! « Ordonna Ronnie
Le gode glissa sans effort dans la vulve inondée, Ronnie gémissait de plus en plus fort, Morane prit la bouche de Ronnie, leurs langues se donnèrent furieusement, leurs ventres se plaquèrent. Morane avait perdu le contrôle du gode totalement enfoncé, seule l'extrémité renflée restait dehors. Ronnie serrait les cuisses, manoeuvrait le gode, trouvait son plaisir. Et l'orgasme arriva, de longs soubresauts agitaient son ventre. Pendant de longs instants elle prolongeait cette jouissance qui lui vrillait les entrailles. Elle serrait Morane contre son corps, emprisonnait sa bouche, croisait les cuisses, relâchait, jusqu'à l'apaisement. Elle finit par lâcher un énorme soupir comblé de bonheur, tira lentement le ...
... godemiché de sa vulve.
« - Ma chérie, tu m'as fait jouir comme jamais » dit-elle à Morane
Morane sentit un fort désir de caresser ce corps parfait, elle s'approcha, enlaça sa voisine, lui caressa les joues, les cheveux, les seins. Elles restèrent ainsi peau contre peau, seins contre seins, cuisse contre sexe, échangeant des mots tendres, savourant cette douceur partagée.
" - Morane, j'entends le moteur de la voiture, les hommes reviennent, sauve toi" dit la dame.
Morane se rhabilla en catastrophe, et s'enfuit par la porte arrière de la maison.""
Complètement traumatisée après cette séqustration, sentimentalement bouleversée entre ce sentiment de viol, vaguement culpabilisée pour avoir cédé a son plaisir, plaisir si profond et si violent pendant l'amour avec sa voisine, Morane se réfugia dans sa chambre et s'abandonna à pleurer à gros sanglots, puis elle s'endormit.
Au milieu de la nuit, des cris réveillent Morane en sursaut, « Morane! Vite! Vite Sors! Sors! La maison brûle! la maison brûle » c'est son mari, Une fumée toxique la fait tousser, elle saute du lit enfile sa robe de chambre et fonce dans le jardin. Très vite les pompiers arrivent, déversent des monstrueux jets d'eau sur la maison. Ils entrent, cassent les croisées des fenêtres qui brûlent encore à coups de hache, maîtrisent l'incendie. C'est alors que Morane hurle, une soudaine crise de nerfs la saisit, elle restera prostrée pendant une journée. Le médecin lui prescrit des calmants, et recommande le ...