Yvonne Ch. 01
Datte: 09/06/2019,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: byromane, Source: Literotica
... Elles étaient enlacées, émergeant d'un sommeil de plomb. Morane prit conscience de sa béatitude, de la douceur de ce cette peau soyeuse, tiède contre ses chairs. Elle passa sa main dans les cheveux de Victoria, lui fit des petits bisous sur le nez, les yeux les joues. Victoria émergeait plus lentement, étirait son corps, serrait Morane, faisait mine de se rendormir. Après ce réveil câlin, elles firent sagement leur toilette et se préparèrent pour la journée.
Pendant le petit déjeuner, Morane commença à raconter pourquoi elle avait besoin de solitude en ce moment. Un voisin, homme très riche, avait progressivement acheté toutes les maisons entourant la leur, au fur et à mesure des opportunités. Maintenant il voulait cette ultime parcelle, pour ne plus être gêné par cette enclave, et pour disposer d'une longue façade sur rue. Peut-être y avait-il du désir de possession dans sa démarche. Il avait fait une proposition à Morane et son mari, qui ne souhaitaient pas vendre, pour des raisons affectives.
Les persécutions avaient alors commencé. Dernièrement, Morane fut invitée à prendre le café; le propriétaire souhaitait lui parler de travaux à envisager sur la clôture mitoyenne. Dès qu'elle fut assise, le monsieur la questionna tout de go:
"- Voulez-vous voir comment votre mari vous trompe?
- Que dites-vous, c'est impossible
- Si vous voulez bien me suivre, je vous prouve le contraire
- Je vous mets au défi"
Il la conduisit dans une pièce du sous-sol. C'était ...
... une chambre, avec un grand panneau vitré sur un mur, en fait une glace sans tain. En appuyant sur un bouton, on illuminait la glace et on voyait l'autre pièce. Morane vit alors son mari étendu sur le dos, une superbe jeune femme lui caressait la poitrine, lui masturbait lentement le pénis. Morane sursauta, eut un haut le coeur, s'effondra en larmes. Un jeune homme lui apporta sa tasse de café qui puait le cognac, mais Morane l'avala d'un trait, et hoqueta encore.
" - Madame, maintenant il faut vous venger, "dit le propriétaire.
- Mon Dieu je suis désemparée, il faut que je rentre," répondit Morane
- Non Madame, vous devez assouvir immédiatement, et ici " dit le propriétaire sur un ton autoritaire
- Non, Non, N...."
Le jeune homme venait de chloroformer Morane et accompagna sa chute sur le petit lit.
Quand elle se réveilla un peu plus tard, ses mains et ses pieds étaient liés aux quatre montants du lit. Elle était totalement nue, jambes et bras écartés, prisonnière des liens. Le propriétaire avait quitté son pantalon et son slip, il promenait sa verge encore molle sur ses seins. Elle eut un mouvement de retrait, se tortillait, pour fuir ce contact dégoûtant, mais les liens étaient bien faits et très solides. Elle se rendit compte qu'elle ne pouvait que subir. Elle vit le jeune homme s'agenouiller entre ses cuisses, il se mit en devoir de caresser l'entrée de sa vulve avec son gland. De son côté, le propriétaire commençait à bander, puis à se masturber devant sa ...