Le Club Libertin
Datte: 09/06/2019,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: byfrederic_le_dard, Source: Literotica
... accentua sa pression et sa main s'enfonça. Les cinq doigts furent facilement à l'intérieur. Puis, elle poussa un peu et je sentis qu'elle rentrait la partie la plus large. Ce n'était plus douloureux, mais au contraire une sensation agréable de sentir l'anneau s'écarter, un peu comme quand on fait caca, mais avec une progression dans l'autre sens.
Enfin j'étais fisté, pour la première fois de ma vie. Comme elle me l'avait annoncé, c'était une drôle de sensation de sentir ce poing en moi. Elle le déformait au gré de ses envies. Elle me pistonnait un peu, elle ouvrait sa main, du moins autant que le confinement le lui permettait, elle essayait d'aller plus profond en s'enfonçant plus loin que son poignet. Je voyais son avant-bras disparaître de mon champ visuel en entrant dans mes entrailles.
Avec sa main droite, elle commença à me branler, massant mes couilles puis la bite. Elle savait y faire. Elle tenait ma queue dans sa main. Elle avait son index sur le frein. Elle ne frottait pas la verge mais elle faisait descendre et monter la peau sous le gland et elle me stimulait avec son index. Elle a approché sa bouche et a placé le bout de sa langue sur le méat. "Comme je te touche ta prostate de l'intérieur, tu éjacules du liquide pré-séminal. Pour moi, c'est comme du nectar. J'adore le tirer et l'avaler comme un spaghetti translucide." Le rythme de sa masturbation s'accélérait et je sentais le plaisir venir. J'essayais de serrer mes fesses mais c'était impossible avec ce ...
... bout de bras qui distendait mon sphincter. La femme a senti que le sperme allait gicler et elle appuya sa main enfouie pour accentuer mon éjaculation. Simultanément, elle goba ma bite et aspira de toutes ses forces. Le plaisir était indescriptible. Je poussais une plainte incontrôlable, qui dura la dizaine de secondes de mon orgasme. Puis la femme sortit rapidement sa main, libérant mon cul qui se referma. Ma queue était luisante mais il n'y avait pas une goutte de perdue. Elle avait tout avalé.
Tout ne fut pas fini pour autant. Sylvie continuait à se faire baiser. Tous les hommes de la soirée voulaient se la faire. Elle avait le visage et les cheveux maculés de foutre. Ça tombait par terre en larmes de chandelle. Elle en avait aussi dans la bouche : la boule en caoutchouc qu'elle mordait en était recouvert. Quant à moi, plus personne ne s'intéressait à mon sort. Je restais suspendu et regardais ma femme se faire mettre à la chaîne. Elle n'avait plus d'orgasme mais elle continuait de prendre du plaisir. Cela se voyait à son regard, à sa tête qu'elle tendait vers la capote qu'on déversait, pour placer sa bouche juste en dessous. Je ne la savais pas si friande de semence.
Je n'ai pas compté, mais je dirais qu'une trentaine d'hommes la possédèrent ce soir là.
Une fois que tous furent assouvis, on nous détacha. Sylvie alla à l'espace de bains se refaire une beauté, surtout le rouge à lèvres et un shampoing. Moi, je suis allé me laver les fesses qui étaient très grasses. ...