Drôle de rencontre
Datte: 09/06/2019,
Catégories:
fhh,
hagé,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
occasion,
Auteur: LastCars, Source: Revebebe
... focalisant mes pensées sur les impôts à payer dans les jours suivants, j’arrivais à diminuer un peu la tension qui me préoccupait, sans toutefois ramener la situation à la normale. J’approchai de ma serviette. Cerise sur le gâteau : pendant que je nageais, un couple était venu s’installer juste à côté de mes affaires avec une jeune femme blonde arborant une poitrine remarquable, et son compagnon, un adonis au corps musclé.
Je fus gratifié à mon arrivée d’un regard critique qui acheva de me déstabiliser, ma nouvelle voisine se penchant ensuite vers l’oreille de son compagnon probablement pour lui faire part d’une remarque cuisante à mon égard si j’en croyais le sourire entendu qu’ils échangèrent ensuite.
Je me séchai à peine et vite m’étendis sur le ventre pour cacher « l’objet du délit ».
Je jetais de temps en temps un coup d’œil à ce couple pensant à ce que j’allais écrire le soir même : une blonde sculpturale faisait tout à fait mon affaire et pourrait sans doute faire aussi quelque chose de l’image de son compagnon aux si remarquables « tablettes de chocolat ». Ma vengeance en quelque sorte !
Mais tout en matant la belle blonde, je me disais quand même que finalement, si j’avais à choisir, ce serait la brunette qui m’avait surpris au sortir de l’eau qui aurait mes faveurs. Certes, il était sûr que contrairement à ma voisine, une fois habillée et dans la rue, elle ne ferait probablement pas se retourner les mâles sur son passage. Mais voilà, je l’avais trouvée ...
... ravissante et elle me rappelait, maintenant que j’y repensais, cette fille qu’une campagne publicitaire habile avait mise sur les murs de nos cités il y a longtemps, avec ce slogan « demain, j’enlève le haut », puis, « demain, j’enlève le bas »…
Mais le temps passait, le soleil était encore haut sur l’horizon et je sentis à nouveau le besoin de me rafraîchir en retournant dans l’eau… Je nageais pendant assez longtemps, mais cette fois-ci, je maîtrisais ma trajectoire. Et c’était donc tout à fait consciemment que je me laissais dériver vers l’endroit où j’avais croisé auparavant ma jolie naïade.
Et ce fut la surprise. Alors que je l’avais repérée assise sur la plage en train de lire, je la vis se lever et s’avancer au bord de l’eau… À l’endroit vers lequel j’étais en train de progresser. L’effet fut immédiat.La bandaison papa, ça n’se commande pas. Rien de plus vrai que cette parole tirée d’une chanson de Georges Brassens.
J’arrêtai ma progression vers le sable et me retournai un moment pour essayer de « faire retomber la pression ». Coup d’œil derrière moi. Elle était solidement plantée, immobile, les pieds dans l’eau et mains sur les hanches, et regardait dans ma direction comme si elle m’attendait. Petit exercice de respiration tout en essayant de penser aux courses qu’il allait falloir faire tout à l’heure au supermarché… Et « les choses » rentrèrent progressivement dans l’ordre ou du moins, suffisamment.
Et me voici donc barbotant dans les derniers mètres en ...