1. Aline la voisine


    Datte: 03/03/2018, Catégories: f, h, fh, jeunes, frousses, voisins, grosseins, Auteur: Hågar, Source: Revebebe

    ... allez, vas-y plus fort » ou encore « défonce-moi ». Je ne pouvais m’empêcher de penser qu’elle aimait ça relativement sauvage, presque violent. Oh, ça j’aime…
    
    Malgré la nuit entrecoupée de pauses de plaisir, le réveil ne fut pas difficile. C’était l’heure des comptes.
    
    Étant donné que l’appartement avait été signalé comme à louer jusqu’à la quinzaine dernière, je me dis que ladite voisine était là depuis une semaine environ.
    
    Une semaine. Déjà deux mecs différents, en sachant qu’elle se faisait du bien elle-même tous les soirs. Nymphomane ?
    
    Le soir, en rentrant, je me dis qu’il fallait que je passe à l’action. J’allai donc toquer chez elle, en prétextant une excuse bidon et classique entre voisins :
    
    — Je n’ai plus de lait.
    
    En m’ouvrant, elle me sourit de nouveau, ce même sourire habituel, et elle m’invita à entrer avant même que je n’aie pu lui présenter l’objet de ma visite. Elle portait une robe de chambre en satin, fermée, et je ne pouvais pas voir ce qu’elle portait dessous. Quel dommage…
    
    Son appartement était plus grand que le mien, il y avait un lit double. C’est donc dans ce lit que… Elle interrompit mes pensées en me demandant ce que je pouvais bien faire chez elle Je lui expliquai que je venais simplement pour du lait.
    
    Elle sortit une brique de son frigo, en me demandant si ça ferait l’affaire.
    
    — Oui, ça ira très bien.
    — Tant mieux, parce qu’après j’en ai plus, haha !
    — Oh, je vais essayer de t’en laisser alors.
    — Je me satisferai d’une ...
    ... petite goutte t’en fais pas.
    
    Je ne pus m’empêcher de penser à d’autres genres de gouttes dont elle devait se satisfaire. Elle m’invita à boire un verre, et m’offrit une bière.
    
    — Je suis désolé, c’est tout ce que j’ai.
    — Je ne suis pas difficile.
    
    S’ensuivit une conversation banale, des présentations, et là, j’appris qu’elle s’appelait Aline. Enfin je mettais un prénom sur ce visage magnifique et sur ce corps de rêve. J’appris alors qu’elle faisait des études de sciences, en fac de physique. Voilà qui est intéressant.
    
    Même si la conversation était banale, elle était toute proche de moi, nos genoux s’effleuraient presque, et sa robe de chambre était remontée un peu sur ses jambes, me laissant voir une petite partie au-dessus du genou.
    
    Elle semblait porter un soutien-gorge cette fois, je ne voyais que le trait qui se dessinait entre ses seins et je m’efforçais de la regarder dans les yeux, poliment.
    
    On papota pendant une vingtaine de minutes, avant que je ne reparte. Je sentais un bon feeling et elle n’avait cessé de m’entourer de son regard, tout en me dévoilant très discrètement ses genoux, et le haut de ses seins.
    
    En rentrant chez moi, je pus utiliser le lait qu’elle m’avait prêté, en me disant que c’était l’occasion pour moi de lui rendre, et donc de la revoir.
    
    Ce soir-là, vers les deux heures du matin, elle recommença son manège nocturne, plus intense, sans retenue. Je l’imaginais nue sur son lit, à quatre pattes, glissant ses doigts entre ses cuisses, ...
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