Aline la voisine
Datte: 03/03/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
jeunes,
frousses,
voisins,
grosseins,
Auteur: Hågar, Source: Revebebe
... côté. Alors que j’allais ouvrir la porte du palier, elle se tenait juste derrière, prête à l’ouvrir. La surprise la fit rire, et je pus sans aucun doute reconnaître la voix.Ainsi, c’était elle… Elle était assez grande, avec de longs cheveux roux, je détaillai rapidement son corps. Elle était vraiment bien foutue, une taille fine, ce qui me semblait être une poitrine imposante. Même habillée sans fioritures, elle était belle et attirante…
— Excusez-moi ?
— Ah oui… euh… pardon.
Trop perdu dans mes pensées, j’étais resté planté dans l’ouverture de la porte, lui bloquant ainsi le passage.
Elle ne riait plus. Je ne pus m’empêcher de la regarder de nouveau de dos, et je peux dire que ses fesses étaient en harmonie avec le reste. Une sportive probablement.
La journée ne fut absolument pas productive. Mes pensées étaient occupées par cette rousse svelte, j’avais toujours fantasmé sur les rousses, mais celle-ci, avec ses activités nocturnes, dépassait mes espérances… Je quittai la bibliothèque pour filer droit à mon appart.
À peine la porte passée, je filai à la douche, avant de m’installer pour manger tranquillement. J’étais impatient concernant la possible séance de ce soir, mais quelque chose me dérangeait. Je ne savais pas encore quoi. Puis cela me frappa d’un coup. Des voix. J’entendais discuter à côté. Pas seulement la voix de la voisine, mais une autre, plus grave, un homme ? Je ne pouvais saisir le sens de ce qu’ils se disaient, mais intérieurement, je ne ...
... pouvais qu’espérer… Et si c’était un possible amant ? Et s’ils allaient baiser cette nuit ? Je serais aux premières loges si c’était le cas…
J’entendais toujours les voix, indistinctement, mais surtout, j’entendais la voisine rire. Ce rire cristallin, craquant. Et puis je me disais :si elle rit, c’est un bon point pour celui qui l’accompagne… Minuit, je devrais commencer à tendre l’oreille. Je collai mon oreille au mur, pour ne pas en perdre une miette. Les voix s’étaient tues. Mince. Et tout à coup, des gémissements, masculins cette fois. Non je ne rêvais pas, elle était probablement en train de s’occuper de lui. J’imaginais sa langue parcourir un membre tendu, avaler le gland… Mon érection était à son comble, les murs étaient suffisamment fins pour me permettre de deviner ce qui se passait à côté, sans pour autant entendre les bruits de succion… Puis ce fut à elle de gémir. Il devait la lécher, lui titiller le clitoris avec sa langue et, pourquoi pas, la doigter tendrement…
Les gémissements se firent plus intenses, j’imaginais donc que cette fois, ils étaient passés à la vitesse supérieure. Les bruits qui accompagnaient les gémissements me donnèrent raison, on entendait le lit bouger, je la voyais jambes écartées, sur le dos, recevant le membre durci de son amant… Puis tout s’accéléra, cette fois, j’entendais le lit taper contre le mur à chaque coup de bassin du mâle. Il y avait d’autres bruits de claquement, accompagnés de longs gémissements de plaisir… Des fessées ? Les ...