Une formation particulière (3) - Histoires de Sexe

Une formation particulière (3)

Julien passait au café comme souvent après sa journée. Il me proposait d’aller au cinéma. Il demandait à ma mère son autorisation. Je savais ce qu’elle allait répondre car elle avait une totale confiance en lui. Mais dans sa demande il proposait en plus que je dorme chez lui surtout si on rentrait tard. Ma mère avait accepté, j’étais ravi nous allions être ensemble une soirée et une nuit entière. Un quart d’heure plus tard nous étions chez lui et il m’embrassait avec fougue. Après m’avoir bien excité il me demandait de me déshabiller et d’aller dans sa chambre. Il me rejoignait nu avec un petit sac contenant des dessous féminins: des bas, un porte-jarretelle, une petite culotte et un soutien-gorge qu’il avait acheté pour moi, m’avait-il confié. Il devait lire dans mes pensées, il m’arrivait très souvent de porter en cachette ceux de ma mère. Je me parais de cette lingerie et m’exhibais devant Julien. Il me demandait de le déshabiller et pendant qu’il m’embrassait dans le cou et que ses mains me pelotaient.

Il était très excité au vu de sa bite gonflée de désir, cela m’excitait moi aussi car je savais qu’il allait me faire l’amour. Je me retrouvais allongé sur le lit, Julien était près de moi, il m’embrassait, sa langue fouillait les moindres recoins de ma bouche. Il me caressait les jambes gainées de bas noirs. Il passait ses mains sur l’intérieur de mes fesses et venait caresser mon sexe sorti de la petite culotte devenue trop petite. Ses caresses me donnaient la chair ...

... de poule sur tout le corps, il glissait un doigt vers mon intimité anale, je lui offrais mes fesses, je savais que j’allais être à lui, qu’il allait me prendre, je n’attendais que cela. Il me tournait sur le côté pour être positionné derrière moi. Je sentais sa queue humide se frotter le long de ma raie à la recherche de mon petit trou d’amour et glisser lentement mais fermement à l’intérieur, mon sphincter s’ouvrait pour laisser entrer ce chibre bienfaiteur. Il enfonçait son sexe entièrement, je sentais ses couilles en contact avec mes fesses.

Il était de nouveau en moi comme je le désirais, c’était un instant merveilleux que celui d’être sodomisé. Il commençait ses va et viens lentement et il pivotait pour se placer au-dessus de moi. Dans cette position il pouvait diriger cette étreinte comme il le voulait, j’étais totalement à lui, il accélérait la cadence, je rebondissais sur le lit et son ventre claquait sur mon fessier. Il sortait et rentrait aussi vite de mon cul, sa queue dilatait mon trou et je découvrais un plaisir bien plus fort que les fois précédentes. Mon érection était au maximum, ma queue tendue frottait sur les draps, mes testicules étaient durs et pleins mais j’essayais de me retenir pour ne pas jouir, je voulais que cette étreinte dure. Julien semblait aimer me faire l’amour de cette façon, il me traitait de salope et de chienne en chaleur tout en me giflant les fesses. Je contractais mon muscle anal, son gland coulissait dans mon ventre de plus en plus ...