1. La culotte de Rose 6 FIN


    Datte: 08/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Accent, Source: Hds

    ... de s’adonner à de nouveaux ébats.
    
    - Rose, viens, donne-moi la main, repose-toi un peu dans ce fauteuil. Brigitte souhaite peut-être recevoir des indications sur ton état d’esprit, sur tes sensations, sur un éventuel état de fatigue.
    
    - Vous allez bien ? C’est supportable ? Il est inutile de palabrer, vous resplendissez dit l’arrivante.
    
    J’ajoute à l’intention de ma femme adultère :
    
    - Tu pourras recommencer à baiser si tu le souhaites.
    
    Soudain Brigitte se dirige vers Rose, arrache le ruban :
    
    - Je veux voir ses yeux. Ho, Benoît qu’a-t-elle de plus que moi, ta putain ?
    
    Où est passée sa bonne éducation ? Brigitte est méconnaissable à force de bouillir dans l’attente de sa vengeance. Elle se délivre de ses vêtements, se met nue. C’est une jolie femme, bien en chair, montée sur de magnifiques jambes, longues et sans cellulite, pur produit des instituts de beauté. Son pubis aux bouclettes dorées attire les regards, quand ils ne sont pas fascinés par son opulente poitrine
    
    Benoît disparaîtrait volontiers, se fait tout petit. L’apparition de sa femme au pire moment est une catastrophe et le glace d’effroi. Il ne peut pas riposter à sa terrible gifle, est publiquement humilié par le coup. Or voilà une suite inattendue, sa moitié si précieuse se dénude entièrement devant moi et les quatre malabars musclés et super équipés sous la ceinture. Il n’a plus la force de réagir.
    
    - Toi, espèce de cochon, dit Brigitte la superbe quadra à son mari, regarde et ne bouge ...
    ... pas.
    
    Pieds et poings liés il n’en a pas la possibilité. La crainte du rejet définitif suffit à lui couper tous les moyens d’entreprendre. Brigitte s’installe sur le lit, appelle les quatre hommes :
    
    -Venez, vous autres, baisez-moi, faites-moi l’amour. Mes trous sont à vous. Dis, Benoît, tu vois ces belles bites. Tu es ridicule à côté d’eux. Messieurs, on y va ? Saluez-moi d’un coup de votre gourdin l’un après l’autre puis sautez-moi comme des sauvages, je veux jouir, jouir, jouir.
    
    Brigitte disparaît au centre des étalons. Les membres se mélangent, les corps s’emmêlent, les grognements et les gémissements se confondent. Quel capharnaüm ! Je tourne le dos au lit et j’oblige Benoît à regarder l’orgie. Il pleure toutes les larmes de son corps.
    
    - Rose, tu devrais le consoler. Fais quelque chose pour ton amant, branle-le, fais lui une fellation. Faut-il le coucher sur le dos afin que tu puisses te laisser glisser le long de sa tige ? Si tu le désires je peux faire amener une botte de foin du poulailler.
    
    Aujourd’hui Rose perd sa voix, me regarde horrifiée.
    
    - Oh ! C’est ça. Tu savais, tu nous as vus ? Tu te venges ! Toute cette mise en scène a un seul but : m’humilier et abaisser Benoît. Le cambrioleur…
    
    - Oui, le cambrioleur c’était moi. J’ai rendu l’argent à Brigitte et pour la deuxième et dernière fois je te rends une culotte dont tu n’as pas déclaré le vol : je l’ai subtilisée sur la clenche de porte de la remise où tu baisais avec Benoît. Sa queue est à ta ...
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