Je découvre les plaisirs de l'homme
Datte: 08/06/2019,
Catégories:
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Auteur: Félix, Source: Revebebe
Je rentrais chez moi sur mon scooter en pilotage automatique, complètement absorbé par ce que je venais de vivre.
Jamais je n’aurais pensé pouvoir me torturer l’esprit parce que j’avais vu un garçon faire l’amour à un autre garçon.
Une fois rentré, j’ouvris le réfrigérateur, en sorti une bouteille de rosé bien fraîche et alla méditer sur une chaise, en alignant les verres les uns derrière les autres.
A plusieurs reprises, je vis mon téléphone portable vibrer, le numéro de Vincent s’afficha. Je refusai de décrocher. Finalement, après plusieurs appels, je reçu un message SMS : Vincent et Thierry m’attendaient, ils ne comprenaient pas pourquoi je n’étais pas venu, finalement ils se rendaient à la plage.
Un peu abruti par l’alcool et la chaleur qui grimpait sans cesse depuis les premières heures de la matinée, je décidai d’aller faire une sieste réparatrice dans ma chambre. Après avoir ouvert les fenêtres et fermer les persiennes, je me mis tout nu et m’allongea sur mon lit.
Je sombrai immédiatement dans un sommeil profond.
Je fis un rêve.
Vincent était allongé à côté de moi. Nu. Son sexe était dressé et son gland entièrement décalotté. On aurait dit un fruit mur, prêt à éclater. Je ressentis un forte envie de le prendre en bouche, je salivais comme jamais. Un peu comme lorsqu’on cherche à étancher une soif persistante et que la vision d’une bouteille d’eau fraîche vous offre une perspective de soulagement intense et délicieux.
L’odeur forte de son sexe ...
... parvenait à mes narines. Je trouvais son gland très beau, c’était un superbe phallus dominant un tronc de chair épais et dur comme du bois. Je sentais une excitation folle m’envahir à la vue de ce membre gorgé de désir. Cette sensation était très pure, rien au monde n’existait plus que cette bite qui attendait langoureusement qu’on l’a saisisse et qu’on l’honore.
Je me mis à quatre pattes sur le corps de Vincent, me rapprochai de son sexe et, comme pour me l’approprier, le fit glisser sur mon visage, mes joues, mon nez, puis mes lèvres. C’était une sorte de communion, une volonté que tous mes sens puissent s’imprégner de ce membre. Une pulsion irrésistible me conduisit à le prendre entièrement en bouche. Je fis plusieurs va-et-vient rapide puis tenta de faire parvenir le gland le plus loin possible dans mon palais. Il fallait que cette bite soit absolument en moi, prenne possession de mon être.
En même temps, je sentais que cet orifice ne pouvait satisfaire totalement cette envie. J’écartai machinalement mes fesses, en souhaitant que mon anus puisse être caressé par l’air.
C’était un moment d’extase.
Thierry fit alors irruption, je ne sais comment. Il prit le membre que j’étais en train de téter pour le mettre aussitôt dans sa bouche. Il suçait vite, sans doute dans l’idée de provoquer une éjaculation. De grosses secousses agitèrent le sexe de Vincent. Thierry le garda malgré tout dans sa bouche. Je vis sa gorge travailler à avaler le sperme. Du liquide blanchâtre ...