1. Comme Belize (1)


    Datte: 08/06/2019, Catégories: Zoophilie, Auteur: fatout, Source: Xstory

    Je suis l’heureuse propriétaire d’une magnifique femelle berger allemand, plusieurs fois primé et il est grand temps de lui faire avoir des bébés. Pour cela nous avons choisi un élevage réputé et qui lui aussi possède un chien primé ; rendez-vous est pris pour la saillie.
    
    A mon arrivée au chenil, trois magnifiques chiens nous accueillent, deux Danois et un berger ; ils ne sont pas agressifs, sans doute par la présence de leur maître, un solide gaillard, le visage sévère, recouvert d’une légère barbe ; son accueil est agréable et avant de rentrer faire la vérification des pedigrees, il me désigne le berger comme le reproducteur ; assis sur son train arrière, il est magnifique.
    
    L’homme est courtois, très pro, et en examinant ma chienne, il me fait compliment sur sa beauté et avec pour la première fois un sourire, il me dit
    
    — Sans aucun doute comme sa maîtresse.
    
    Je sens le rouge envahir ma figure, mais en le fixant, je le remercie. Il me fait alors remarquer qu’il faudra peut-être plusieurs mises en contact des deux chiens, avant que la saillie soit concluante, puisque c’est la première fois pour Belize (ma chienne). Il l’emmène dans un enclos, assez vaste, puis va chercher son chien. Cela l’amuse de voir ma chienne vouloir jouer, alors que son mâle lui a manifestement envie de la prendre ;
    
    — Laissons-les ensemble, cela se passe bien, nous reviendrons un peu plus tard
    
    — Avant d’aller prendre un café, je vous propose d’aller voir les deux nouvelles ...
    ... portées
    
    — Avec plaisir
    
    Nous arrivons dans un local, ou deux box, très propres et assez grands, accueillent les deux portées ; l’une de bergers allemands, l’autre de petits dogues. Bien évidemment, je craque pour les petits bergers, et après accord, j’en prends un dans mes bras ; il n’est pas encore sevré et il se love dans mes bras, donnant des petits coups avec sa langue sur ma joue ; adorable, mais aussi pas très propre car il fait pipi sur moi et je me retrouve la veste et le corsage trempés. L’éleveur me propose d’aller me changer et en arrivant chez lui, il me tend une chemise à lui, bien trop grande, mais avec l’avantage d’être sèche.
    
    Je regarde autour de moi, pas d’endroit pour me changer et lui ne me propose rien ; tant pis, je retire ma veste et mon chemisier, ce qui lui permet de découvrir ma poitrine, simplement soutenue par un soutien-gorge, demi-bonnet, laissant bien découvertes mes pointes de seins ; cela ne le laisse pas indifférent ; ses yeux ne quittent pas ma poitrine découverte et quand j’enfile rapidement la chemise, avec un grand sourire,
    
    — Dommage, j’aimais bien voir vos seins.
    
    Cela me fait sourire
    
    — Oui je le vois bien.
    
    Car son pantalon est gonflé à l’entrejambe. Provocatrice, je ne boutonne pas totalement la chemise, laissant la gorge entre mes seins bien visibles.
    
    Le café arrive et je peux détailler l’homme ; bien bâti, le visage tanné, c’est manifestement un homme de la campagne, au bon sens du mot ; simple courtois, le discours clair, ...
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