1. Ma femme, mon épouse que j'aime


    Datte: 07/06/2019, Catégories: fh, couple, cocus, douche, revede, intermast, Auteur: Philippe, Source: Revebebe

    ... discrètement et sans ostentation. Rien ne s’est passé pendant plusieurs minutes, on discutait de tout et je ne songeais plus qu’à la soirée prévue avec ses collègues de travail : son nouveau directeur invitait à un toast d’entrée avant d’aller dîner avec une équipe restreinte dont ma femme faisait partie.
    
    — Tu veux à boire, mon chéri ?
    — Oui, bonne idée.
    
    Elle est revenue quelques instants après dans sa robe d’été toute simple, noire, mouchetée de discrets motifs chinois, boutonnée sur le devant de tous petits boutons. Comme je l’aime.
    
    Sans façon, elle s’est assise sur le rebord de la baignoire, me laissant voir ses cuisses nues que découvrait sa robe, et m’a tendu un rafraîchissement. Alors que je buvais, elle me déclara sans ambages que son nouveau directeur semblait être une personnalité ambiguë qui ne la mettait pas très à l’aise, qui la lorgnait, lui semblait-elle…
    
    — Je ne lui ai pourtant rien fait mais, crois-moi, il ne laisse pas traîner ses yeux, si tu vois ce que je veux dire…
    — Bah, écoute, tu es une belle femme, c’est normal.
    — Oui, mais à ce point-là, ma copine le confirme d’ailleurs, c’est exagéré, dit-elle en regardant ma queue qui sortait à fleur d’eau.
    — Ah ! Et pourquoi es-tu invitée ?
    — Justement, je ne le sais pas. Simple secrétaire de direction, je n’en vois pas l’intérêt ; en même temps, si c’est pour parler aussi travail… je suis bien contente que toi aussi tu sois invité.
    — Tu as peur de lui ?
    — Non, pas peur, mais je ressens une ...
    ... certaine gêne à ses côtés, il me flatte, me parle d’une façon suave, me regarde tout le temps les seins quand il est certain que personne ne le remarque.
    
    Inconsciemment, je commençais à me représenter le personnage : matant, bavant sur les seins de mon épouse, et je me mis à bander doucement. Inéluctablement, Annie s’en aperçut.
    
    — Eh bien, dis donc, je te raconte tout ça et voilà ce que cela te fait… dit-elle en voyant ma queue dressée.
    — Excuse-moi, chérie…
    — Je t’en prie ! J’aurais pas cru ça… Alors, ta femme se fait mater par un cochon et toi tu bandes !
    — C’est réactif…
    — Tu pourrais être plus jaloux que cela quand même, me montrer une certaine colère…
    — Oui, bien sûr, je le suis aussi.
    — Hum ! dit-elle en allongeant la main et en empoignant mes couilles comme l’autre fois…
    
    Ah ! on y était…
    
    — Bah, dis donc, continua-t-elle en rougissant légèrement, elles sont lourdes encore, plus que ta queue, non ?
    — Oui, sans doute… on n’a pas fait l’amour cette semaine, mon amour…
    — Oui, c’est vrai, tu as raison…
    — …
    — Mais vas-tu me rentrer ça à la fin… dit-elle en me prenant la queue à la base avec deux doigts tout en me tenant les couilles en paquet et en appuyant fortement…
    — Comme ça ce serait plutôt l’effet inverse, chérie, dis-je en retenant une petite grimace de douleur car elle me décalottait complètement… presque trop fort.
    — Je sais, mon amour, mais comme tu en as une petite, je veux voir aussi si elle peut s’allonger…. dit-elle en rigolant…
    
    À ces mots, ...