Gynécologue Pervers
Datte: 06/06/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byGerald F., Source: Literotica
... au-dessus de ses seins. Le docteur la bourrait à grands coups, et il monta le son pour me faire entendre les cris de plaisir qu'elle poussait.
" Elle est venue me demander de lui prescrire la pilule, " expliqua-t-il. " C'est son droit le plus strict puisqu'elle a dix-huit ans, mais je lui ai quand même demandé quelques services pour lui garantir que son père ne serait pas au courant. "
L'annonce que Caroline prenait la pilule - j'en étais encore à la croire vierge - m'atteignit à peine, tant j'étais hypnotisée par le spectacle de ma fille chérie se faisant prendre comme une chienne, par le même homme qui maintenant m'enfonçait à nouveau son gode dans le cul tout en me fouillant la chatte avec ses doigts, usant de la mère comme il avait usé de la fille. J'entendais ses commentaires sur le film :
" Tu aimes ça, hein, salope? Tu le fais parce que je t'y ai forcée, mais tu adores ça? Ta mère aussi aimerait ça, tu crois? Tu sais qu'elle aussi est ma patiente? La prochaine fois qu'elle viendra me voir pour avoir des nouvelles du petit frère, je la baiserai par tous les orifices, même si je dois l'attacher à la table pour faire ça. Je suis sûr qu'elle adorera. Pas toi? Tu peux lui dire ce qui l'attend. "
Caroline ne faisait que répéter " oui, oui, ", ses cris se transformèrent en hurlements lorsque le docteur changea de position pour l'enculer tout en lui fourrant une main entière dans la chatte, et le film s'arrêta après qu'il jouit et la laissa pantelante sur le ...
... tapis.
Le docteur me jeta un regard satisfait, et je pensai que le matin même j'avais dit à Caroline que j'allais chez le gynéco, et que son visage n'avait pas montré la moindre émotion, alors qu'elle savait ce qu'il allait me faire subir.
" Comme vous le voyez, " dit-il, " votre fille prend très bien du cul, je pense que maintenant vous allez faire de même. "
Je compris ce qu'il désirait et il me prit aux hanches pour m'aider à me retourner, malgré mes poignets toujours menottés. Je me retrouvai à quatre pattes sur la table, mon ventre et mes seins alourdis frôlant le tissu qui la recouvrait, pendant que le docteur s'agenouillait derrière moi et m'écartait les fesses. Son sexe était plus gros que le godemichet, quoique plus souple, et je subis son assaut avec quelque difficulté. Mais enfin il parvint à tout faire rentrer dans mon anus encore lubrifié, et se mit à aller et venir tout en me maintenant les reins d'une main, tandis que de sa main libre il avait repris le gode, me l'avait passé entre les cuisses et me l'enfilait dans la chatte. Attachée, à genoux, avec mes seins et mon ventre qui ballottaient sous moi en frottant contre la table, forcée devant et derrière par cet homme qui avait déjà abusé de ma fille, je pensai à mon mari, au père de mes enfants, et l'abjection de ma situation ne fit que démultiplier mon orgasme lorsqu'il éjacula dans mon cul, pendant que le godemichet expertement manié me faisait exploser par-devant. C'était la sensation la plus merveilleuse ...