1. Le jour de l'an


    Datte: 06/06/2019, Catégories: fh, ffh, fête, hsoumis, miroir, Oral 69, pénétratio, yeuxbandés, confession, entrecoup, extraconj, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... autre, enfin une dernière. Les trois boules ont disparu. Ne reste qu’un mince fil un peu ridicule.
    
    — Ahhhh.
    
    Elle sursaute alors que Sandrine active la télécommande. Sa bouche est ouverte. Son initiatrice a dû lui mettre le programme progressif, celui qui augmente la puissance des vibrations de façon continue jusqu’à stopper pour deux secondes et recommencer. Deux secondes qui deviennent vite une souffrance avec la peur que tout s’arrête. Mais non, les vibrations reprennent. Le plaisir reprend, fait monter un peu plus haut et …
    
    — Regarde ! Regarde !
    
    Ma tête est dans un étau. La queue me déforme les joues. Il s’active avec force.
    
    — Le gros. Mets le gros. Je suis certain qu’il va passer.
    
    Pascal pour un peu aurait crié pour conseiller sa femme.
    
    Je louche pour voir, moi aussi. Après tout, c’est ma femme que le couple tente de pervertir. Mais Adèle n’est pas comme moi. Moi, j’étais demandeur, toujours insatisfait de mes rencontres d’un soir, cherchant malgré les jouissances physiques ce qui manquait à mon bonheur.
    
    Et si je me trompais ? Et si elle aussi n’était pas satisfaite…
    
    Le sextoy que saisit Sandrine n’est pas le plus gros. Elle l’enduit de salive. Voir les boules de geisha ressortir une à une, comme à regret, est si érotique que je sens ma queue à l’étroit dans mon pantalon.
    
    — Oui, chérie, prépare-la-moi.
    
    Pascal est dans son trip. Il pense que ma femme va se laisser faire avec le Rabbit. Pire, que cela est juste une étape.
    
    — Oui c’est ...
    ... bien. C’est bien.
    
    Je ne peux m’empêcher de regarder, de voir la bite bleu, couleur étonnante probablement pour désacraliser ce genre de jouet, avancer et disparaître jusqu’à ce que la base porte la partie externe vers le petit bouton.
    
    — Ohhhh.
    
    Son foutre jaillit sans prévenir. Il m’inonde, me remplit la bouche de sa crème odorante. Le salaud, il a réussi à se retenir pour être synchrone avec le gode vibrant qui baise mon épouse, une façon de marquer son savoir-faire avec celui de sa femme.
    
    Il se vide en pays conquis.
    
    Il envisage déjà d’en conquérir un autre.
    
    Après le mari, la femme.
    
    — Ne bouge pas. Profite de la leçon.
    
    Il ouvre la porte qui donne dans la salle de bain. Mes pensées chavirent. Je ne peux tout de même pas le laisser faire. Moi aussi, je vais aller dans la chambre, détruire cette ambiance de sexe que cette perverse de Sandrine a mis en place. Pour l’instant ce n’est qu’un jeu un peu poussé entre femmes. Nul doute que tout ce que nous avons bu obscurcisse notre jugement et fasse tomber des barrières. Ma femme a démarré très vite avec le champagne, j’imagine pour se mettre au plus vite dans l’ambiance et se sentir partie prenante du groupe d’amis alors que nous étions les nouveaux.
    
    La porte se referme. Je me lève, retrouve un peu de la dignité d’Alain laissant Alice s’essuyer la bouche avec son mouchoir. Si je dois aller dans la chambre au moins que je sois « net ». Cela la « foutrait » mal si je surgissais en époux bafoué avec des traces ...
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