Un drôle d'anniversaire - Histoires de Sexe

Un drôle d'anniversaire

... vous arrivent pas à la cheville.
— Flatteur !

Il est allé chercher son verre et a pris place auprès d’elle. Ils ont échangé quelques mots sur des sujets sans importance. Puis a débuté un slow.

— Cette fois-ci, dit-elle c’est moi qui vous invite, si vous savez danser ça
— Oui, j’adore.
— Alors, allons-y.

Il l’a prise contre lui, serrée de près. Loin d’être offusquée, elle s’est collée contre lui. Ce corps contre le sien, lui provoque une érection terrible. Il voudrait s’éloigner, mais il est tellement bien. Gêné, il n’ose la regarder. À l’oreille elle lui murmure :

— N’ayez pas honte, je prends ça pour un hommage.
— Et croyez-moi, c’en est un, je dois avouer que vous m’inspirez

Elle a souri doucement, heureuse de se voir désirée. La danse s’est terminée. Une java a suivi immédiatement, ils se sont souri et ont pratiqué une démonstration à la limite de la décence. Le paso-doble suivant les a ramené à leur place, ce n’est pas leur genre. Ils sont restés silencieux. Elle a posé la main sur celle de son compagnon. Il a souri. Pas besoin de paroles, ils se sont compris.

— J’aurais un service à vous demander, lui dit-elle.
— Mais volontiers, si cela m’est possible.
— Oh oui ! J’en ai eu la preuve.
— Alors, c’est volontiers.
— Mais ce sera un peu particulier. Sortons.
— À votre disposition.

Elle se dirige vers le parking, lui derrière.

— Vous avez une voiture ? lui demande-t-elle.
— Naturellement.
— Prenons-la, je laisse la mienne ici, nous ...

... reviendrons la chercher. Je vais vous guider.

Ils sont partis le long de la route et quelques centaines de mètres plus loin, elle lui a demandé d’emprunter un chemin à droite. Un bref parcours, elle l’a fait stopper.

— Sortons, je vous demande de faire ce que je vous dirai, même si cela vous paraît bizarre.
— D’accord.

À peine dehors, elle se colle à lui et lui dit :

— Martial embrasse-moi, fort.

Il lui obéit, heureux de cet ordre. Mais pourquoi l’appelle-t-elle Martial ? Enfin, profitons de l’instant présent.

— Caresse-moi les seins. Et elle entrouvre son corsage.

Surprise ! Pas de soutien-gorge pour tenir une poitrine pas très importante, ce qui lui interdit de tomber. Obéissant, il saisit doucement les mamelons.

— Martial, plus fort, serre-les fort.
— Oui, Estelle.

Les mains de Cédric les malaxent violemment.

— Mords-moi les bouts.
— D’accord Estelle

Biens que extrêmement étonné, il obéit, sans toutefois serrer trop les dents.

— Plus fort.

Totalement surpris, il suit les ordres. Brusquement elle le repousse, se met à genoux, ouvre sa braguette et sort un sexe au maximum de sa forme. Elle prend les mains de Cédric, les pose de chaque côté de sa tête et agite cette dernière. Pas besoin de paroles pour préciser ce qu’elle désire. Il s’en sert pour baiser cette bouche accueillante. Tout à coup, elle se dégage, se met à plat ventre sur le capot, soulève sa robe, descend sa culotte.

— Martial, baise-moi !

Comprenant son désir, Cédric se ...