1. L'aveu


    Datte: 05/06/2019, Catégories: fh, fhh, couple, extracon, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral Humour Auteur: Malpertuis, Source: Revebebe

    J’étais en train de lécher mon épouse avec appétit, quand elle m’avoua soudain qu’elle s’était fait caresser par deux collègues, au cours d’une petite fête organisée à sa boîte.
    
    La matinée avait pourtant bien commencé. J’étais venu la rejoindre discrètement dans la cuisine tandis qu’elle préparait le repas. Je m’étais discrètement agenouillé derrière elle et, baissant d’un seul coup sa jupe, j’avais entrepris d’embrasser son gros fessier. Lorsqu’elle est à la maison, elle ne met jamais de culotte, ce qui est très pratique pour les étreintes urgentes et laisse porte ouverte à mes désirs salaces. Je dois dire aussi que nous sommes un couple très sexuel et que nous passons la plupart de nos week-ends à copuler, ce qui ne nous empêche pas de le faire également très souvent en soirée, le restant de la semaine…
    
    J’ai léché un long moment la raie des fesses de mon épouse, je sais qu’elle adore ça, insistant longuement sur sa pastille que j’ai percée du bout de ma langue. Puis je l’ai faite se retourner pour dévorer avec ferveur son abricot poilu. Elle avait depuis belle lurette relâché ses instruments de cuisine, prenant soin au passage de réduire le feu pour éviter que ça brûle.
    
    Mais, alors que je suçais lentement son bouton, c’est là qu’elle m’a fait cette surprenante révélation :
    
    — Mon chéri, il faut que je t’avoue quelque chose… L’autre jour, lors de la fête organisée par le CE, je me suis fait draguer par Lucien et Roger… Et un peu plus que draguer, parce qu’à la fin ...
    ... ils m’ont touchée…
    
    J’ai redressé la tête, elle n’avait pas l’air de plaisanter. Je ne savais trop comment prendre la chose. Qu’entendait-elle au juste par toucher ?
    
    — Ils m’avaient fait boire et n’arrêtaient pas de me coller, en dansant… Dans le noir, dans la folie des stroboscopes, je sentais des mains baladeuses se poser partout sur moi.
    — Oh ! Les salauds.
    — Bien entendu, à chaque fois que la lumière revenait, ils arrêtaient et cela me donnait quand même un peu de répit pour reprendre mes esprits. Mais je dois t’avouer que tous ces attouchements me donnaient envie et que je n’avais plus tout à fait toute ma tête… Et quand ils m’ont proposé de les accompagner dans un petit bureau à l’écart où nous serions plus tranquilles, je n’ai pas su refuser. Je les ai suivis, comme un petit mouton…
    — MAIS… qu’as-tu fait ?
    — Ils voulaient que je fasse un petit strip-tease. Alors je me suis déshabillée lentement devant eux.
    — Tu t’es foutue à poil devant tes collègues ? Comme ça ? Juste pour leur faire plaisir ? Et sans qu’ils te menacent de quoi que ce soit ? Tu te fous de ma gueule, j’espère !
    — Je te jure, j’étais un peu pétée, je n’avais plus toute ma tête. Et ils m’avaient dit qu’ils voulaient juste me voir nue, pour admirer ma beauté, que cela ne prêtait pas à mal.
    — Et toi tu les as crus ? Tu es tombée dans le panneau, comme une gourdasse ! Tu t’es exhibée devant ces deux vicelards !
    — Oh tu sais, c’est vrai que, ce soir-là, nous étions bien tous les trois et qu’ils ...
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