Voir et être vu. Et plus si affinité, 2
Datte: 04/06/2019,
Catégories:
2couples,
couplus,
extraoffre,
vacances,
piscine,
sauna,
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
intermast,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
échange,
totalsexe,
entrecoup,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... minuit. Ce qui est sûr, c’est que nos épouses sont éreintées et qu’elles ressentent de l’irritation au niveau du sexe et de l’anus.
Marc se souvient tout de même qu’il avait installé sa caméra, dissimulée derrière un arbuste, pour immortaliser la soirée prévue avec le jardinier et ses amis. Quelques minutes plus tard, nous nous installons dans le salon pour visionner le film. Les premières images confirment bien que tout le monde prend son pied et que nos épouses épuisent leurs deux partenaires au point de se plaindre, presqu’avec violence, qu’elles en veulent encore. Le son n’est pas bon mais on peut tout de même les entendre dire que ce n’est pas assez, qu’elles veulent encore des queues, plein de queues… Et nous de rajouter :
— Oui, il faut les baiser, encore, encore.
C’est complètement surréaliste, on dirait des ados. Au même moment, quatre hommes sortent de l’ombre, comme s’ils attendaient ce signal. Nos femmes poussent des cris de joie, comme des groupies devant leurs idoles, et se précipitent vers eux, leur arrachant leurs vêtements pour atteindre leur sexe.
Pendant plus d’une heure, elles se sont livrées entièrement à ces quatre mâles, rejoints par les deux autres lorsque leur sexe est revenu bien dur. Marc et moi n’étions pas en reste pour participer à cette orgie, exigeant que nos femmes soient prises par tous les orifices, comme elles le demandaient d’ailleurs, n’hésitant pas à guider ces verges vers les orifices choisis. Pas étonnant que ce matin ...
... elles soient irritées !
Pas un mot n’est prononcé pendant que nous assistons, effondrés, à nos ébats et c’est avec soulagement que Marc arrête le film.
Presque aussitôt, Lise s’effondre en pleurs et criant :
— Mon dieu, mon dieu…
J’essaye de la consoler en justifiant nos débordements par :
— Chérie, ne pleure pas, tu n’es pas coupable. C’est son satané apéritif qui nous a perturbés. J’ai pourtant vérifié qu’eux aussi en buvaient, mais manifestement l’effet est moins fort car j’imagine qu’ils ont l’habitude. Par contre, ils savaient parfaitement ce qui allait se produire car l’arrivée des quatre gars était prévue. D’ailleurs leur arrivée coïncide au départ des deux femmes. C’est elles qui ont dû leur ouvrir la porte. On s’est fait piéger et on a dérapé, mais il faut voir le bon côté des choses, cela nous fera un souvenir de vacances pour nos vieux jours.
Concluant par un petit rire :
— Mais, non, ce n’est pas ça. Combien de préservatifs avais-tu achetés ? Deux boîtes de dix ?
Le ciel nous tombe sur la tête car, ce n’est pas nécessaire d’être un génie des maths, pour voir qu’il est impossible que tous les rapports aient été protégés. Marc le vérifie immédiatement en faisant des zooms mais il n’est pas possible de voir si les sexes sont toujours couverts de latex. Alors, comme des fous, nous faisons le tour de la piscine, fouillons les poubelles et comptons les préservatifs utilisés. C’est glauque mais on en retrouve assez pour penser qu’ils en avaient ...