1. La bourgeoise et le puceau. (14)


    Datte: 04/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    Depuis notre récente sortie au bois de Boulogne où je me suis bien faite baiser par des transsexuelles, mon mari François et notre neveu Florian sont devenus très complices. Je pense que François a trouvé en Florian l’instrument de sa perversion. Mon mari a une grande imagination et de grosses envies lubriques mais ce qu’il aime surtout c’est me mettre en scène dans des situations libertines et débridées. Il est en général plus spectateur qu’acteur, il est en quelque sorte le metteur en scène de ma débauche. Il a donc trouvé en son neveu l’acteur qu’il lui fallait pour jouer les scènes avec moi. Cela excite mon mari, cela ravit notre neveu et cela me convient parfaitement.
    
    En ce samedi après-midi, François a décidé que nous allons faire un tour dans un club libertin d’Argenteuil dont il a trouvé l’adresse sur internet. Les critiques sont élogieuses et il se dit qu’il y a matière à y réaliser un scénario débridé comme il raffole. Nous partons tous les trois en voiture mais, une fois arrivés sur place, François demande à Florian d’y entrer seul et nous le suivrons une dizaine de minutes plus tard sans montrer que nous nous connaissons.
    
    Un quart d’heure plus tard, nous nous retrouvons tous dans l’établissement. Nous voyons que Florian est installé seul à une table et est en train de boire un verre. Nous nous asseyons à une table voisine et commandons un verre à notre tour. François se décide alors à me faire faire le tour des lieux. Au sous-sol, il y a un petit sauna ...
    ... mais ce n’est pas trop notre truc car je préfère rester habillée, au moins en lingerie. Au rez-de-chaussée, où nous étions assis, il a donc les tables avec fauteuils et canapés, une petite piste de danse, un grand lit bas et le coin WC. Le premier étage est accessible par deux petits escaliers, l’un situé à chaque bout du rez-de-chaussée. Nous trouvons là-haut plusieurs petits salons privés, une sorte de chambre noire et une pièce fermant à clé avec un lit et une baie vitrée donnant sur le couloir qui dessert tout l’étage. Nous revenons au rez-de-chaussée et nous reprenons nos places en continuant à boire nos drinks. Le gérant a mis une musique douce, une vieille chanson de Demis Roussos, particulièrement lascive. Quatre ou cinq hommes nous regardent, me matent avec attention mais pour l’instant aucun ne prend l’initiative. Après un échange de clin d’œil entre mon mari et Florian, ce dernier s’avance jusqu’à notre table et demande à François
    
    — Pardon Monsieur, m’autorisez-vous à faire danser votre charmante épouse ?
    
    — Bien sûr ! Je suis un piètre danseur et je suis certaine qu’Hélène sera ravie de faire quelques pas avec vous.
    
    répond-il.
    
    Me voilà donc bien enlacée en train d’évoluer dans les bras de Florian sur la petite piste de danse. Bien vite, Florian joue le rôle que lui a assigné mon mari, me caresse le dos et m’embrasse dans le cou. Ses mains descendent ensuite sur mon dos et se positionnent sur mes fesses. Encore quelques tours de piste et le voilà qui ...
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