1. Une première fois....


    Datte: 02/06/2019, Catégories: Anal Première fois Auteur: Cochise971, Source: xHamster

    ... une femme comme moi.
    
    Avec un grand sourire aux lèvres, lui tendant la main, je lui dis :
    
    — Il faut faire quelque chose pour te décomplexer, viens près de moi.
    
    Lucette, ne comprenant pas ce que je veux faire, se lève et s’approche de moi. Je lui saisis la main et l’assois sur mes genoux.
    
    — Alors, c’est si terrible que ça d’être sur mes genoux ?
    
    — Mais, toi ce n’est pas pareil, tu es un ami !
    
    — Donc, ça ne te fait rien d’être sur les genoux d’un autre homme que Georges ?
    
    — Non, enfin parce que c’est toi !
    
    — Si je pose ma main sur ton genou, ce n’est pas grave, cela ne porte pas à conséquence !
    
    Lucette :
    
    — …
    
    — Si je remonte un peu ta jupe, tu ne m’en montres pas plus qu’à la plage !
    
    Imperceptiblement le regard de Lucette change. Sa voix est un peu rauque…
    
    — Arrête-toi, s’il te plaît.
    
    — Pourquoi puisque ça ne te fait rien ? Montre-moi mieux tes jambes !
    
    Et ce faisant ma main remonte le long des cuisses de Lucette. Ma main glisse sur la peau lisse et soyeuse. D’un geste réflexe, elle tire sa jupe vers le bas, mais j’ai laissé ma main en place et comme pour la gronder je lui dis :
    
    — Eh bien ! on se défend, cela te trouble ?
    
    — Non mais arrête, ça me gêne.
    
    — Qu’est-ce qui te gêne, que je découvre tes jambes alors que sur la plage tu me montres bien plus ? Nous ne faisons rien de mal, Willy te voit sur mes genoux. C’est pour te montrer qu’il ne faut pas être inutilement timide ! Ferme les yeux, comme cela tu ne nous verras pas et ...
    ... tu ne craindras pas nos regards. Passe ton bras autour de mon cou.
    
    Lucette obéit et se penche pour poser un baiser amical sur ma joue.
    
    — Bien, détends-toi !
    
    Mon bras gauche passe autour de sa taille. Me tournant vers Willy je lui fais un clin d’œil de connivence et replonge ma main libre sous la jupe et doucement, du bout des doigts, monte et descend le long de la cuisse de Lucette, dévoilant à chaque passage sa jambe un peu plus haut. Bientôt, on peut apercevoir la dentelle de son slip blanc. Willy ne peut s’empêcher de lui dire :
    
    — Tu es très belle comme cela, sur les genoux de François.
    
    Avisant le corsage, j’abandonne les jambes fines et monte vers le col du chemisier. Je dégrafe un puis deux et enfin le troisième bouton. Les joues de Lucette sont maintenant roses, sa respiration se fait plus courte, soulevant sa poitrine. Elle est visiblement l’objet d’un trouble qu’elle ne veut pas encore avouer. Du bout des doigts, j’écarte les pans du chemisier, laissant apparaître un soutien-gorge pigeonnant bien rempli avec les aréoles que l’on devine à la limite de la dentelle. Le soutien se dégrafe par l’avant, je n’ai donc aucune peine à rendre à ses seins une liberté à laquelle ils semblent aspirer avidement. Un effluve de son parfum capiteux éveille mes sens.
    
    La poitrine qui se révèle alors à mes yeux confine à la perfection, les tétons, durs, bien dressés par l’excitation, se dressent fièrement au milieu de larges aréoles. Je me mets à caresser lentement les ...
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