Fubuki et Supersado
Datte: 02/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byMefistora, Source: Literotica
Après sa défaite contre Princesse Supersado, Fubuki fut amené comme prisonnière au repaire des monstres.
Dans les tréfonds de l'association des monstres, Supersado, vêtu de son emblématique tenue SM et d'un long fouet, rentra dans une grande pièce rectangulaire totalement vide à l'exception d'une personne attaché au centre de la pièce, Fubuki. Comme elle l'avait ordonné chaque membre de son nouveau jouet était attaché au sol ou au plafond par une chaîne, formant un X avec son corps et la prisonnière était vêtu d'un longue robe tellement moulante que son cul, ses seins et même son nombril étaient parfaitement dessinées. En voyant cette opulente poitrine monter et remonter au rythme des respirations, Supersado sut qu'elle n'allait pas s'ennuyer.
Elle sa plaça juste devant elle et soupesa les seins de Blizzard Infernale.
« Quelle belle paire de seins, tu dois avoir du succès auprès des hommes ma chère. Je dois dire que je me sens même un peu jalouse, » dit-elle en pinçant les tétons de Fubuki au dernier mot, déclenchant un petit cri de douleur et de surprise. « Ne me touches pas, » essaya de lancer Fubuki, mais le bâillon transforma ses mots en un ridicule grognement. « Je dois dire que je n'avais jamais vu de corps féminin aussi parfait, tu à du te faire tellement souffrir pour arriver à un tel résultat. Rien que d'y penser... » Finit-elle en se frottant l'entrejambe à travers le tissu. Elle saisit subitement son fouet et la fouetta avec, causant un cri étouffé qui ...
... retenti avec le 'clac' du fouet. Elle savait que la douleur était très supportable, mais pas assez pour l'empêcher de gémir.
« Ça fait mal pas vrai? » Susurra la dominatrice en parcourant la peau rougit de sa prisonnière avec un doigt. « Mais ne t'inquiète pas, je n'utiliserais pas mon fouet d'épine ou te ferais saigner, je ne veux pas de casser... tout de suite .»
« Cries! » Ordonna-t-elle en la fouettant de nouveau à chaque mot, « Cries, cries, cries, cries, cries, cries, cries, cries, cries, cries, cries, cries, cries! ». A chaque coup les vêtements de Fubuki se déchiraient, révélant peu à peu son corps pulpeux. Mais les cries de la classe B changèrent de plus en plus de nature ; alors qu'elle poussait des petits gémissements de douleur au début, la voilà en train de pousser des gémissements où se mêlait un soupçon de plaisir. Fubuki regarda avec étonnement son propre corps parcourut de sillons rouges.
« Tu te demandes pourquoi tu commences à aimer ça pas vrai? Figures-toi que mon corps de monstre sécrète des spores de plaisir en permanence, et plus le temps passera et plus l'air de cette pièce se chargea de mes phéromones d'amour! Avec ça, » continua-t-elle en passant derrière Fubuki, « même la douleur devient du plaisir. Cries! Cries! Cries! Cries! Cries! ».
En s'acharnant sur son dos, Supersado se mit à admirer le dos de Fubuki qui se révélait plus à chaque seconde, et loucha sur ce cul moulée qui remuait de manière insolente devant elle.
Les cries de ...