1. Mes amies du lycée, un harem inattendu ! (6)


    Datte: 02/06/2019, Catégories: Hétéro Auteur: Ardiero, Source: Xstory

    ... jusqu’à la naissance inférieure de ses seins. J’ai une vision parfaite sur son corps voluptueux, ses hanches larges, sa petite culotte blanche et surtout la moitié basse de ses seins superbes. Encore un ou deux centimètres, et j’aurai pu voir ses tétons.
    
    Lola change de position et vient se mettre à côté de moi, elle pose son menton sur mon épaule et continue de me branler en passant une de ses cuisses par-dessus une des miennes.
    
    — Ça t’a excité comme un fou de jouer les voyeurs tout à l’heure, avoue... mais je suis sûre que t’aurais encore plus aimé qu’elle te pompe la bite dans cette cave...
    
    — Mais qu’est-ce que... humm... tu racontes... ohh... gémissais-je sous le regard triomphant de Lola.
    
    Je n’en peux plus de ses mouvements lancinants et lance mon bassin en avant par coups, pour forcer le mouvement. Elle me calme avec un "tut tut tut", mais mon ardeur finit par la convaincre et elle se met à accélérer le mouvement d’un coup, produisant un bruyant "fap fap fap". Elle se penche à nouveau vers moi et son souffle chaud contre mon oreille me rend fou.
    
    — T’aurais aimé qu’elle te vide les couilles comme une petite chienne en chaleur ; pas vrai ? Pouvoir baiser sa petite bouche ...
    ... pulpeuse là... me chuchote-t-elle.
    
    C’en est trop pour moi et Lola, qui a les seins posés sur mon torse, tire sur son débardeur pour me révéler un décolleté qui rentre bien dans le top dix des visions les plus érotiques que j’ai eu dans ma courte vie. Je suis pris de tremblements et j’explose d’un coup. Lola referme la main autour de mon gland et plusieurs jets de sperme viennent lui fouetter la paume. Je grogne longuement en me sentant partir sous une vague de plaisir. Je suis un peu dans la brume et je sens vaguement Lola m’essuyer avec un mouchoir avant de partir se laver les mains. A son retour, elle se couche à mes côtés comme si de rien n’était.
    
    — T’es... ouf... vraiment une... une grosse perverse.
    
    — Merci mon chou, allez, bonne nuit !
    
    Elle éteint la lumière et me laisse seul dans le noir, seul avec mes pensées qui se tournent rapidement vers la ronfleuse sur le matelas d’à côté.
    
    Cette soirée change tout. Et pourtant je ne peux rien dire à Arthur...
    
    D’un autre côté... maintenant que je la connais mieux... je suis le mieux placé pour aider mon ami à la conquérir.
    
    Oui ; évidemment que moi aussi, j’adorerai la baiser, mais bon...
    
    Les amis avant les filles ; pas vrai ? 
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