1. 61 – Kamal, étudiant, dépucelé au douar, par Si Ali (1):


    Datte: 02/06/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Noura, Source: Hds

    61 – Kamal, étudiant, dépucelé au douar, par Si Ali (1):
    
    Je suis kamal, âgé de 22 ans et étudiant en fac de lettres depuis trois mois. J’ai longuement hésité avant de vous raconter ma toute nouvelle vie depuis ces trois mois avant lesquelles j’étais puceau sexuellement et même complètement bloqué. Je viens d’un petit village traditionnel où j’ai fais mes études primaires puis à la 6em, mon père m’a mis dans un institut religieux situé dans une sorte de monastère un peu plus haut dans la montagne. On vivait comme des militaires et, en plus des matières normales, on nous enseignait la rigueur et les interdits sexuels et érotiques comme des péchés mortels. On nous mettait même des produits dans la nourriture pour affaiblir et même tuer nos désirs et chaleurs sexuels. Donc, quant on a passé le bac, on s’est dispersé et moi j’ai été inscrit dans la grande ville voisine, en Lettres. Mes camarades étudiants semblaient plus détendus, plus libres sur tout sujet et surtout sur les problèmes sexuels contrairement à moi qui fuyait chaque fois que l’on évoquait ces sujets. Mes camarades commençaient même à avoir des copines da la cité filles voisine et certains les amenaient dans leurs chambres, ce qui était un blasphème pour moi. Ainsi, j’ai vécu le premier trimestre en solitaire, en paria et on se fuyait mutuellement. Mais la nature étant ce qu’elle est et comme je ne consommais plus de bromure, mon sexe se gonflait et bandait tout seule souvent et il m’est arrivé plusieurs fois ...
    ... de constater, le matin, du sperme séché sur mon slip et cela m’obligeait à me doucher chaque matin et à laver mon vêtement. Alors j’ai réfléchi et décidé d’une solution, certes osée pour moi, mais pratique. En effet, si en début de soirée je sentais mon sexe qui s’échauffait, alors je me masturbais et éjaculais dans les toilettes, puis je me nettoyais, évitant ainsi la douche froide du matin et les salissures à mes slips.
    
    Cela dura ainsi durant le premier trimestre et je me suis pratiqué au moins tous les trois à quatre jours. Et quant on a eu les vacances d’hivers, je suis retourné au village pour quinze jours. Tout allait bien dans un premier temps, mais dès que l’envie de mon sexe s’est déclarée, je me suis caché dans la cabine d’un WC commun, isolé des maisons, pour me soulager, mais je savais qu’il y avait des fissures dans le mur et même des trous. Tout en me branlant, j’ai vu des yeux qui m’observaient par l’un des trous et je me suis bloqué, puis je suis sorti en urgence. Dehors, c’était un de nos voisins, le vieil Ali, cultivateur, veuf de cinquante ans environ, et vivant seul depuis le mariage et le départ de sa fille cadette, et qui m’avait observé. J’ai essayé d’être fâché car c’était péché et interdit, mais il m’a répondu :
    
    « anta thani rak direte 7aja 7aram ! » ( toi aussi, tu faisais une chose péché).
    
    Et comme il rigolait, cela m’a calmé. Puis il a ajouté en rigolant bruyamment :
    
    «oud’khoul kamal zahouatak ! » (entres et termine ton plaisir)
    
    Je ...
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