COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le flic (1/1)
Datte: 02/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... à manger, je l’ai frôlé, mon regard est tombé sur ses seins, elle avait seulement son peignoir en soie lui arrivant à mi-cuisse.
Autant Véronique mon ex en avait des petits autant cette femme du monde en a qui doivent bien remplir la main.
J’avais épousé une salope s’étant tiré avec un Arabe qu’elle avait rencontré à son club de gym, alors que lorsque j’étais jeune je regardais Paris Hollywood piquer à un copain qui lui-même l’avait piqué à son père.
À l’intérieur, je me pignolais sur les photos des plus gros seins.
En ce temps-là comme on dit, sous les partis floutées j’ignorais que les femmes cachaient leurs chattes ce que j’ai découvert plus tard.
Surtout quand j’ai vu ma sœur uriner dans la forêt.
Nous faisions une balade, elle a eu envie de pisser.
Je faisais le guet car elle avait peur d’être surprise par un passant.
J’ai entendu du bruit comme un sifflement.
Une fraction de seconde j’ai tourné ma tête.
Laure était accroupie sa culotte sur ses pieds et c’était le bruit de l’urine forçant ses grandes lèvres qui émettaient ce petit sifflement.
C’est ce jour que le floutage a disparu de mon cerveau.
Nous avions un sexe nous permettant d’uriner, elles avaient des chattes leur permettant d’en faire de même.
Je devais avoir 14 ans.
C’est plus tard avec Colette que j’ai su que ces sexes faisaient double emploi.
Fonction urinée et fonction baise pour mon plus grand plaisir.
Après Laure qui m’a défloré, il y a eu Violette sa ...
... mère, eh oui, je fais partie de ces hommes qui ont eu le plaisir de baiser la fille puis la mère.
Qui était la plus salope ou la plus pute.
Chacune sa spécialité, la fille la levrette avec des sodomies, la mère les fellations.
Paris Hollywood, je le planquais sous mon matelas jusqu’au jour où ma mère a fait le ménage de printemps retournant mon matelas sur la face été.
Ça a été la mort du journal et une engueulade car j’étais un pervers.
Ma mère était très vieille France.
J’ouvre la fenêtre.
Nous sommes à l’angle de l’immeuble.
L’angle a des panneaux saillants permettant à une personne agile de descendre par là.
Quand je regarde de l’autre côté les fenêtres donnant sur la façade c'est impossible à un homme ou une femme de monter ou de descendre.
Je fais bouger la fenêtre.
Au sol dans le soleil quelques éclats de verre se voient, bien qu’ils aient ramassé les morceaux.
- C’est moi, j’avais peur que la bonne ne se coupe, j’ai mal fait ?
- Non, mais je m’interroge, pour sortir, celui qui a cassé la vitre est bien passé par là.
Regardé sans trop vous pencher, on voit une trace de plastic sur le mur.
Il a glissé et faillit finir sur la chaussée.
Belle chute.
Il est sorti mais il a fait une erreur.
La vitre brisée.
Voilà comment il a fait, il a ouvert la fenêtre et il a dû se placer comme s’il y entrait en brisant la vitre avec son coude pour se protéger.
L’erreur ce sont ces petites particules de verre, ils y en auraient au ...