1. Prise devant mon mec (10)


    Datte: 01/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: donico, Source: Xstory

    ... avait l’air de rester méfiant vis-à-vis de moi.
    
    — Tu veux pas qu’on le vire quand même ? C’est casse-couille qu’il soit là !
    
    C’est casse-couille que je sois là ? Moi ? Putain ça c’est fort : on est quand même chez moi et on parle de ma copine !
    
    — Non ça me va, j’aime bien qu’il me mate en train de défoncer sa meuf !
    
    Son pote a rigolé en me regardant.
    
    — Ouais t’a raison, on va lui apprendre comment ça marche à ce bouffon !
    
    Je bouillais intérieurement. J’ai failli faire remarquer à Nabil qu’il aimait bien quand je lui suçais la bite, parce que j’étais sûr qu’il n’assumait pas cette partie-là devant son connard de copain. Pourtant je n’ai rien dit, je ne voulais pas empirer les choses me concernant.
    
    Le pote de Nabil – que j’appelais Lardon dans ma tête, eut égard à sa corpulence de semi-gros – a posé une de ses paluches graisseuses sur la poitrine de ma Lexie, puis il l’a ploté comme un porc. D’ailleurs, tout chez lui m’évoquait le porc. Il était grassouillet, déjà, mais aussi malpoli, sans gêne ni empathie, manifestement pervers – mais pas pervers comme Nabil, plutôt pervers comme… un porc.
    
    Bref, je pense que vous avez saisi l’idée et cerné le personnage.
    
    Autant je n’aimais pas quand Nabil touchait ma copine, mais comme on peut ne pas aimer que quelqu’un touche sa copine. À la limite, je le trouvais séduisant et j’étais attiré par lui. Le voir faire m’excitait, même si ça me dégoûtait.
    
    Avec Lardon, les choses étaient plus simples : il me ...
    ... dégoûtait, point barre. Il n’y avait rien d’attirant chez lui, rien qui puisse racheter son attitude odieuse. Son physique était à l’avenant de son attitude : répugnant. Je voyais d’ailleurs à l’expression de Lexie qu’elle pensait comme moi. L’attirance que nous avions tous deux pour Nabil, aucun de nous ne l’avait pour Lardon.
    
    Pourtant nous le subissions, parce que Nabil nous l’imposait. Tel était son ascendant sur nous.
    
    Quand Lardon a commencé à lécher le visage d’Alexia, et qu’une grimace de dégoût a déformé les traits de ma jolie petite amie, j’ai pourtant été gagné par une autre sorte d’excitation.
    
    C’est pas vrai, je vais pas être excité par ce porc ??!
    
    Eh bah si. Je retrouvais ce que j’avais ressenti quand Nabil m’avait forcé à le sucer dans le local à poubelle : l’avilissement le plus complet. Lardon était répugnant – et d’ailleurs il dégoûtait Alexia – et pourtant ce fait même m’excitait. Parce que nous ne décidions rien, que nous étions de misérables victimes livrées pieds et poings liés à leurs bourreaux.
    
    Voilà la nature profonde de mon fantasme. La nature profonde de ma déchéance...
    
    Les deux compères ont rapidement déshabillé Alexia, puis ils ont tripoté chaque centimètre de son corps. Ils ont caressé, malaxé, pincé, léché… Rien n’a échappé à leurs désirs pervers.
    
    Soudain, ma copine a lâché un petit cri de douleur : occupé à lui téter les seins, Lardon les lui avait mordues ! Ce salaud n’avait vraiment de respect pour rien ni pour personne. Je le ...
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