1. Un beau réveil 3


    Datte: 01/06/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mysterious1991, Source: Hds

    ... joue… Un doigt qui se posait sur ses lèvres, les pénétrait. Elle suçait son doigt. D’un mouvement que je ne saurai décrire avec des mots précis, même encore aujourd’hui, sa main posait sur sa gorge et sur son cou. Constance n’était que sensualité. Sa main descendait progressivement. Sur la naissance de sa petite mais excitante poitrine. D’ailleurs, ses deux jolis petits seins tout mignons… JE LES AIME ! Elle les soupesait, elle les prenait dans la paume de ses mains, elle les empoignait. Elle titillait ses tétons, elle les pinçait doucement, elle les faisait se dresser et pointer. Elle se donnait du plaisir ainsi. Pour accompagner ses caresses, elle aimait bien émettre de tout petits sons : soupirs… gémissements… cris… halètements. Ce devait être sa manière à elle pour s’exciter encore plus.
    
    Quant à moi, je ne vous cacherai rien en vous disant que j’étais aux premières loges et que je n’en perdais pas une seule miette, que ça m’excitait, moi aussi. Sa main continuait sa progression vers le sud. Constance la posait sur son coeur : elle aimait le sentir battre. Son coeur est l’antre qui contient l’amour qu’elle a pour moi.
    
    Il est généreux, et même si le corps de Constance l’est moins que celui d’autres femmes, Constance est la femme la plus sensuelle du monde à mes yeux. Elle est la femme que j’aime. Nous ne nous disions rien. Nous nous observions. Nous nous regardions. J’étais aux premières loges, elle était dans ma ligne de mire. Constance savait l’effet qu’elle me ...
    ... faisait. Elle savait qu’elle m’excitait. Elle savait qu’elle pouvait compter sur moi si elle avait envie que je me rapproche d’elle… et que je la caresse. Que je sois artisan et instrument de son plaisir. A ce moment-là, elle n’avait pas encore de sextoys pour se donner du plaisir, alors… elle se servait de moi. J’en étais honoré. J’étais fier de la conduire au septième ciel.
    
    A l’aise, et en sécurité, elle se laissait aller et céder au plaisir que lui procuraient ses caresses. Ses mains, elle les laissait dériver gentiment mais sûrement plus bas. Ça me faisait un jene-sais-quoi que de voir Constance aussi bien et en paix avec elle-même. Elle n’avait plus la moindre honte lorsqu’elle osait poser ses mains sur elle. Elle ne cherchait même plus à dissimuler le plaisir qu’elle y prenait, et pour être honnête, ça s’entendait mais ça décuplait mon excitation, à moi aussi. Au fur et à mesure que sa main descendait encore et toujours plus bas, Constance paraissait se laisser aller, lâcher prise. Par exemple, ça pouvait se voir quand ses yeux jouaient : ouverts… fermés… mi-clos. Elle avait désormais réussi à être amoureuse de son corps. A travers mon regard bienveillant… et toujours aussi amoureux, elle se lâchait et… ça me plaisait. J’étais fier d’être toujours amoureux de ce petit bout de femme.
    
    Alors qu’elle continuait de se toucher, ses yeux glissèrent de temps à autre sur moi. Je pense qu’elle mourait d’envie de savoir si je jouissais du spectacle qu’elle était en train de ...
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