Rêve ou réalité ? - Episode II
Datte: 01/06/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
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grossexe,
grosseins,
facial,
double,
fsodo,
hsodo,
uro,
aventure,
fantastiqu,
couple+h,
Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe
... datent d’il y a sept mois, au début du projet. Je zappe sur des films de mauvaise qualité où les visages ne sont reconnaissables que lorsqu’ils sont en gros plan. Le reste est zébré ou flouté de couleurs plus ou moins vives. On devine les coïts mais cela n’est pas explicite au premier abord. Les derniers sont un peu plus nets, mais on ne peut pas réellement appeler cela un film. Pas un son ne vient troubler les images baveuses, personne ne paierait pour une qualité aussi médiocre. Soulagé par les images, je détruis la mémoire en mes mains.
— C’est bien moi ?
— Oui.
— Je peux venir avec toi ?
Je me déplie pour accueillir la jeune femme qui vient se blottir entre mes bras. Aucune coquinerie, uniquement des murmures, des papouilles. Nous parlons de nous, de nos expériences, de nos attirances. Une nouvelle nuit courte mais instructive, je l’aime.
OooOOOooO
Le matin, je me retrouve seul et habillé sur le lit. J’essaie de trouver un détecteur ou de claquer des doigts pour allumer la lumière mais rien ne se passe. Au bout d’un moment la porte manuelle s’ouvre et j’entends le bruit caractéristique d’un interrupteur avant que la pièce soit baignée d’une douce lueur. Julie entre en peignoir, transportant un petit-déjeuner copieux.
— Bonjour mon chéri !
— Bonjour ma belle.
Tout revient à mon esprit, je suis terré sous un vieil immeuble avec la fille dont je suis épris et sa famille. Je bouge ma jambe pour m’asseoir, ma fesse se rappelle à moi, je grimace et reste ...
... allongé.
— Va te laver et après je ferais ton pansement, dit-elle en montrant la douche.
L’eau qui coule est une bénédiction même si le filet est pauvre. Encore un détail qui me fait dire que je vis l’instant, aucun de mes gels favoris ne se trouve sur la console. Je me shampouine et prend le peignoir propre qui est posé sur la vasque. Deux minutes après, je suis sur le ventre, cul nu, pour que Julie me soigne.
Enfin nous passons aux victuailles, mon ventre crie famine. Elle m’avoue, accompagné d’une moue évocatrice, que ses parents nous laisseront tranquille le temps qu’il faudra. Quelle tolérance !
Je zieute régulièrement vers l’échancrure de son peignoir, mais je ne vois rien d’intéressant. C’est en se moquant qu’elle se propose de me montrer sa poitrine puisqu’elle a pu voir mon joli fessier musclé (je reprends ses mots !). Avec candeur elle écarte les pans pour me laisser voir ses trésors. Je pensais les reconnaitre, mais non ils ne sont pas comme dans mon fantasme. La lourdeur est présente mais l’attraction fait son effet, les mamelons sont foncés, presque noirs et tranchent avec sa peau blanche.
— Tu n’es pas déçu ?
— Pas du tout.
— Comme pour moi.
— Parce que tu as…
—(sourire) Il n’y a pas que toi qui a le monopole des fantasmes mon grand.
Je ne veux pas parler, ni finir mon petit-déjeuner, je veux mettre ma tête entre les seins laiteux. Lécher ses mamelons dont les tétons volumineux dardent. Elle gémit sous mes lèvres aspirantes, sous les assauts ...