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Rêve ou réalité ? - Episode II
Datte: 01/06/2019, Catégories: fh, fhh, hbi, grossexe, grosseins, facial, double, fsodo, hsodo, uro, aventure, fantastiqu, couple+h, Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe
... qui viennent tâter la naissance de sa chute de reins, Julie continue de me rouler une pelle en gémissant tendrement. Je dois encore être en train de rouler une galoche à la bouche synthétique, c’est sûr. Le scénario de science-fiction, même s’il semble réel, doit être tout droit sorti de mon imagination. Je décide de repousser la donzelle qui me regarde droit dans les yeux. — Tu crois être dans un caisson ? — J’en suis persuadé. — Je ne sais pas comment te prouver le contraire, car si je te montre que tu as tort tu vas me rétorquer que le programme a été bidouillé ou encore que tes pensées ont été lues. — Exact ! — Donc il faut me croire. Gaël, il n’y a pas de complot contre toi, mais juste des personnes qui ont besoin de toi pour s’évader. — Ouais, dis-je en m’asseyant dans un coin. Oh putain ! Je viens de poser ma fesse gauche sur une ferraille rouillée qui est rentrée profondément dans mes chairs. Chez LUBRIREV la charte prévoit qu’aucune violence ou blessure ne peut être faite aux clients. Mon cerveau fonctionne à plein régime pour gérer douleur et réflexion. D’une main je compresse la plaie tandis que la blonde ouvre un passage dans la cloison et appelle au secours. D’habitude cette partie de mon anatomie est placée sur la matière à mémoire de formes. Je sais que j’ai mal, c’est réel, je ne suis pas dans les rêves cotonneux des caissons. Claudiquant, je suis Julie qui me tient par la main en m’apaisant de douces paroles. Le recruteur vient à notre ...
... rencontre ainsi qu’une femme de son âge et un garçon d’environ seize ans. La famille au complet s’occupe de mon postérieur douloureux. Nous sommes dans un appartement sans fenêtres, ils l’ont créé de toutes pièces. Pendant que la maman désinfecte, j’apprends qu’ils ont eu Olivier juste avant la Loi et qu’ils souhaitent que leurs enfants vivent comme eux, librement. Puis Jacques me bombarde de questions au sujet des possibilités que j’ai de pirater les banques pour coller aux identités qu’il a créées. Je réponds que j’ai les compétences et que je ferai ce qu’il faut à condition d’être du voyage. — Je ne sais pas ce que te trouve ma fille, je ne te connais pas, mais je lui fais confiance donc il est prévu que tu viennes avec nous. Sa fille ? Moi ? Elle aurait des sentiments à mon encontre ? Il faudrait que je me rasseye sur la ferraille pour être sûr de ne pas rêver à nouveau. Son regard doux croise le mien et j’y vois une étincelle espiègle. Ce genre de détail n’apparaît pas lors des séances, j’ai compris au bout d’un semestre que tout avait ses limites et les émotions font partie des sentiments qui ne peuvent être retranscrits par les appareillages. — Maintenant passons à la phase désactivation. À partir de cet instant nous ne sortirons plus d’ici. — Quoi ? dis-je. — Je veux dire que la prochaine fois que nous sortirons ce sera pour nous exfiltrer, il y a de quoi vivre une bonne semaine ici en plus d’un réseau sécurisé, faites-nous confiance. Il commence par le ...