Bronzette & brochettes
Datte: 01/06/2019,
Catégories:
fh,
Oral
fsodo,
couple,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... en veut encore car elle commence à taquiner ses lèvres humectées de ses fins doigts. Je la laisse jouer avec sa porte de jade tandis je m’occupe du bout de la langue de sa porte d’ébène.
Elle respire de plus en plus fort, pousse de longs soupirs entrecoupés de faibles gémissements. Ses doigts s’activent de plus en plus, détrempés de cyprine que je recueille parfois de la pointe de ma langue pour venir en maculer son anus entrouvert.
Ses fesses ondulent de plus en plus. Me relevant un peu, je cueille sa cyprine dégoulinante pour m’en badigeonner le gland. Je respire un grand coup. Je répartis mes deux jambes de part et d’autre du transat et du beau popotin offert, puis je darde ma queue vers son petit trou sombre. Mon gland gluant de cyprine épouse la cuvette mouillée de son anus. Puis, ma tige fermement en main, je pousse mon avantage en elle. Elle sursaute un peu :
— T’es qu’un petit saligaud !
— Et toi, tu n’as que ce que tu mérites !
— Ah bon ? Et pourquoi tu m’encules, gros salopiaud ?
— Parce que tu m’excites comme pas possible, petite enculée !
Elle ne répond rien, tendant un peu plus ses fesses. Je sais qu’elle ne déteste pas ce que ça soit un peu cru entre nous. Un peu, mais pas de trop : je commence à la connaître. Mais aujourd’hui, j’ai envie de sortir de la bienséance classique, et je la sens réceptive…
Je m’enfonce un peu plus en elle ; mon gland vient de disparaître dans ses chairs :
— C’est qui qui va recevoir toute ma queue dans son beau ...
... cul de cochonne ?
— C’est moi ! répond-elle d’une voix coquine
Je m’enfonce un peu plus encore :
— C’est qui la salope qui va se faire bien défoncer le fion ?
— C’est moi !
— C’est qui, moi ?
— C’est moi, la salope qui va se faire bien défoncer le fion !
Ses doigts s’agitent de plus en plus, elle plonge la tête dans le matelas du transat tandis que je coulisse en elle, d’abord lentement, précautionneusement, puis de plus en plus vite, sadiquement. Je décide de porter l’estocade :
— Ah oui ? Alors déguste-moi ça bien profond !
— Oh oui, mets-la-moi bien profond ! Ouiii !
En de vastes mouvements, je m’enfonce en elle sans vergogne, venant écraser mes couilles sur la peau douce de ses fesses, pour presque ressortir l’instant d’après. Je suis étonné de la facilité avec laquelle je plonge en elle, du coulissement de ma bite dans ses entrailles. Mais c’est follement jouissif de la prendre bestialement !
Karine se masturbe frénétiquement tandis que je la pistonne furieusement. Je sens que je ne vais pas résister bien longtemps à cette furia, à cette cavalcade épique ! Mes sens se brouillent peu à peu. Je me sens décoller, partir au lointain, dépasser les nuages !
Un dernier coup de reins et la vague jaillit ; elle fuse partout, envahissante, éclaboussante, débordante ! Je reste rivé dans les profondeurs de ma femme, la remplissant de ma semence, la possédant, elle toute à moi !
— Oh ouiii, que c’est bon de te remplir ! Oh ouiii !
— Ah oui ! Vas-y ! Vas-y ...