Pure Agnès 2
Datte: 01/06/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Accent, Source: Hds
Toujours coincée sous son amant, Agnès m'implore avec une étonnante humilité. Habituée à "porter la culotte" comme on dit depuis la fin du XVIIIe siècle pour désigner la personne qui exerce l'autorité dans un couple, mon épouse surprise en flagrant délit d'adultère, oublie de parler haut ou d'ordonner. La fourche souillée de fumier dont je fais aller les pointes sur la peau des accouplés a renversé les tendances. J'ai su me montrer assez persuasif pour m'imposer par la crainte d'une blessure peut-être mortelle. Et ainsi l'amante oublie le plaisir donné par l'amant pour se plaindre de la position dans laquelle je les maintiens et elle ose :
- Mon amour, Paul est lourd, il commence à peser. Permets lui de se retirer de mon corps. Un bon mari l'exigerait !
Oui, elle ose encore prononcer, en s'adressant à moi "Mon Chéri".Espère-t-elle m'attendrir, faire tomber ma colère et me faire lâcher l'instrument dangereux avant de tenter de me remettre à ses pieds ? Elle doit se rendre compte que l'adultère observé non seulement n'est pas à mon goût mais a transformé son gentil toutou de mari en molosse enragé capable d'appuyer sur le manche de la fourche assez fort pour percer le corps placé au-dessus d'elle et pour pénétrer également le sien.
La déception d'avoir laissé filer le pouvoir de me soumettre se traduit dans le tremblement inhabituel de sa voix. Donc elle tente de sauver sa peau en jouant la femme aimable, celle qui a toujours su me rendre serviable, moi, l'idiot ...
... amoureux, qu'elle menait par le bout du nez. Hélas pour elle, Agnès a franchi les bornes de l"acceptable. Depuis des semaines elle se fait sauter en cachette par ce Paul. Si l'amant est lourd, trop lourd tout à coup, que ne s'en est-elle pas aperçu plus tôt ? Elle est prisonnière sous lui, ce n'est pas moi qui ai choisi la position de l'union actuelle de leurs deux corps. Je suis intervenu alors qu'ils copulaient depuis assez longtemps pour qu'Agnès réclame des prolongations. Les tremblements de ma voix n'ont rien de commun avec les siens. Elle meurt de peur, je me sens fort dans la fureur du cocu :
- Il t'écrase? C'est ton choix, surtout qu'il voulait s'arrêter et que tu lui as intimé l'ordre de reprendre. Je veux, quant à moi, vous garder unis, nus, chair dans chair, devant moi, aussi longtemps que la nature le permettra de manière que vous soyez punis par où vous avez fauté. Vous vous aimiez en cachette de moi, continuez sans gêne devant moi. L'impensable est arrivé, il n'y a plus de raison de m'y opposer Continuez ce que vous avez entrepris.
- Laisse nous prendre un peu de repos. Sa quéquette flanche, je la sens moins. Par contre je sens des picotements dans mon vagin. Tu ne voudrais pas que je tombe malade. Que ferais-tu d'une femme abîmée par les excès? Pense à demain.
- C'est out réfléchi. Il n'y aura plus de demain entre toi et moi. Tu étais ma femme, tu ne l'es plus depuis que je vous ai vus collés l'un à l'autre.
- Jean, pas ça. C'est mon premier faux pas. Tu ...