Mon fils amoureux de moi . (4)
Datte: 01/06/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: valeriane, Source: Xstory
Cela fait déjà un si long moment que nos relations incestueuses avec mon fils ont débuté, que maintenant, nous faisons lit commun.
Il est allongé nu à côté de moi, il somnole.
Pendant de longues minutes, je contemple son corps musclé de jeune adulte, je ne peux m’empêcher de faire glisser ma main sur ses pectoraux et de jouer délicatement avec ses tétons, je les roule doucement entre mes doigts, les bouts deviennent durs rapidement.
Malgré son sommeil, Marc soupire fortement.
Je délaisse sa poitrine pour caresser son ventre, mes doigts sont maintenant dans sa toison crépue, je frôle son membre à maintes reprises, lentement l’engin se lève, je le prends très doucement dans ma main et le masturbe lentement, à chaque descente de mon poignet, je décalotte le gland, des perles de rosée s’échappent du méat.
Je pose mes lèvres sur le cèpe royal et lape le nectar qui suinte, mon fils commence à gémir.
De ma main libre, je lui caresse les bourses, les triture délicatement, ma main descend encore un peu, mon majeur tourne sur son œillet.
Je n’appuie pas trop fort, ma première phalange s’enfonce comme aspirée par le rectum.
Mon fils se cabre, mais n’ouvre pas les yeux, mon doigt progresse dans la gaine étroite, je tourne et fais quelques petits va-et-vient.
La bite de Marc devient dure comme du béton, ma main la branle toujours et ma langue joue avec son cèpe violacé.
Je retire mon majeur et y joins mon index.
Je les place sur la rosette légèrement ...
... entrouverte et appuie comme par enchantement, ils sont aspirés.
Mon fils se cabre, il a un sourire pointe au coin des ses lèvres, je pousse plus fort, mes doigts sont en lui jusqu’aux dernières phalanges.
Il grogne, mais dort toujours, sa bite est de plus en plus grosse.
Je la branle de plus en plus rapidement, Marc se raidit et envoie plusieurs jets puissants, son ventre et ma main sont englués de sperme épais.
Mes doigts le sodomisent encore un moment, ce qui a pour effet de le faire gicler davantage.
Avec ma langue, je m’évertue à nettoyer le gland gluant.
Marc dort toujours, je l’enjambe et dirige sa bite encore tendue contre ma chatte moite, je la frotte contre les grandes lèvres de mon vagin, je commence à mouiller comme une chienne, je m’empale doucement sur le harpon de chair jusqu’à la garde.
Je commence à onduler sur le pal puissant, mon corps monte et descend sur la colonne de chair.
Mon fils geint dans son sommeil, il râle comme un animal en rut.
Instinctivement, il s’agrippe à mes hanches, à chaque descente de mon corps, il tire sur mes hanches pour que l’empalement soit total.
Je pousse de petits cris que je tente d’étouffer avec ma main.
Soudainement, je pousse un hurlement terrible, ma jouissance est si fort que je tombe sur le torse de mon fils qui sursaute et ouvre les yeux.
— Oh, maman, j’ai cru que je rêvais, nous avions fait vraiment l’amour ?
— Oui mon chéri, te voir ainsi, je n’ai pas pu me retenir !
— Ouah, maman, ...