Perle Noire
Datte: 01/06/2019,
Catégories:
volupté,
f,
h,
fh,
fhh,
couleurs,
profélève,
uniforme,
grossexe,
piscine,
gymnastiqu,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
entreseins,
facial,
Oral
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... Mais en prenant toujours bien soin de tourner le dos à ses deux élèves et sans plier les genoux. De temps à autre, elle prenait soin de calmer quelque peu le jeu avant de s’asseoir négligemment sur le coin de son bureau en oubliant quelque peu de serrer les genoux. Inutile de dire que les deux loustics étaient pour le moins serrés dans leur pantalon…
— Alors, ça vous plaît, une fille sans culotte ? Pourtant, j’aurais juré que vous en aviez relativement l’habitude…
— Ah bon ? Et pourquoi en aurions-nous l’habitude ? firent-ils, étonnés. Ce n’est pas banal, jusqu’à preuve du contraire…
Estelle réalisa alors son erreur.
— Ne me dites pas que vous n’avez jamais rien remarqué ?
— Encore une fois, remarqué quoi ?
Une fois de plus, elle sourit. Elle aurait juré qu’ils n’avaient pas leurs yeux dans leur poche ; et pourtant, il faut croire que c’était bel et bien le cas.
— Je peux bien vous le dire, puisqu’elles ont toutes eu leur examen et qu’il est très probable que vous ne le reverrez pas. Y’a au moins trois ou quatre de vos chères collègues qui viennent régulièrement sans culotte en cours. Et vous ne vous en êtes jamais aperçu ?
— Hein ?
Elle leur expliqua tout : comment, pendant les cours, presque tous les élèves posaient leur pied sur la barre un peu haute du pupitre et que les filles, persuadées de ne pouvoir être vues de personne, ne prenaient pas toujours garde à leurs courtes jupes d’uniforme. Mais qu’elle, du haut de son estrade, avait une vue ...
... imprenable sur le sujet… Elle leur parla de Vanessa, la grande rousse, dont elle ne se souvenait pas de l’avoir vue une seule fois autrement que la chatte à l’air ; d’Angèle, la petite brune qui, si elle ne venait pas souvent sans culotte, compensait si l’on peut dire avec un sexe toujours totalement glabre. De Paula, la petite Black, pourtant toujours première de la classe, qui venait aussi très régulièrement sans dessous, et même de Lola, de loin la plus jeune de la classe, qui semblait adorer ces strings papillons qui, sous des dehors parfaitement prudes, vous laissent l’abricot complètement libre…
C’en était trop. L’un des deux garçons se leva alors. Il bandait tellement fort qu’il en avait du mal à se déplacer.
— Mademoiselle…
— Oui ?
Estelle était sur le point de lui rappeler les termes de leur accord lorsqu’il l’interrompit.
— On a bien dit « regarder, mais pas toucher » ?
— Tout à fait, Florent, rétorqua-t-elle tout en essayant de ne pas paraître affolée.
Soudain, elle prit peur. Le lycée était totalement désert ; elle pourrait appeler autant qu’elle le voulait, personne ne l’entendrait. Elle réalisait soudain l’idiotie de ce pari : si ces deux idiots avaient l’idée de la violer, elle n’avait aucune aide à attendre de qui que ce soit. À vouloir jouer avec le feu…
— Eh bien, laissez-vous faire. Nous vous avons donné notre parole que nous ne vous toucherions pas : nous allons nous y tenir. Mais laissez-vous faire, s’il vous plaît.
Elle ne comprit pas tout ...