Un SMS énigmatique
Datte: 01/06/2019,
Catégories:
fh,
hsoumis,
fdomine,
Oral
fdanus,
fsodo,
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
Auteur: Shiva 2, Source: Revebebe
C’est par un SMS énigmatique qu’elle me donna le ton de la soirée :
Elle connaissait ma tendance à la soumission, nous en avions parlé quelquefois, et il était arrivé que dans le feu de l’excitation elle se laisse aller à me dominer. C’était toujours resté relativement soft ; apprivoiser dans un couple l’envie de soumission de l’un et la découverte de la domination chez l’autre, en même temps, prend du temps.
Je ne savais pas vraiment jusqu’où je voulais aller et je crois qu’elle s’interrogeait sur son envie et sa capacité de dominatrice.
Le ton directif de ce SMS me titilla tout de suite. J’avais une petite idée de ce qui m’attendait ou, du moins, je l’espérais.
La moindre des choses était d’être ponctuel !
J’arrivai donc à 20 h pile devant notre porte d’entrée. Celle-ci – et ça va vite avoir son importance – se trouve sur un palier que nous partageons avec les voisins du dessus.
J’ouvris donc, un peu fébrilement, le paquet qu’elle avait déposé.
À l’intérieur se trouvait un deuxième paquet et un petit mot :
Hum, je n’ai pas de problème à être vu nu, mais là… la situation était particulière !
Ce n’est pas le moment de reculer… Je n’en ai pas envie ; et même si je le voulais, je suis déjà trop excité pour reculer. Je m’exécute donc, me déshabille, aux aguets d’un bruit dans les escaliers. Je crois que je ne me suis jamais aussi vite déshabillé !
J’ouvre la boîte, déjà déstabilisé par la situation ; j’y découvre une cagoule dont les yeux ne sont ...
... pas percés et un collier muni d’un anneau.
Nous y voilà…
Je « m’habille » (en me disant que si les voisins rentrent, je dois changer de quartier) et frappe à la porte. Je ne vois plus rien avec cette cagoule, mon ouïe redouble. J’entends ses pas se rapprocher de la porte, la porte qui s’ouvre, et je la sens placer quelque chose sur mon « collier ». Un petit coup sec vers le sol me fait vite comprendre qu’elle m’a placé une laisse.
— Prêt à être à mes ordres ce soir ? demande-t-elle.
— Carrément !
— Mets-toi à quatre pattes alors, ça sera ta position jusqu’au moment où j’en aurai décidé autrement !
Sa voix est ferme, décidée.
Je prends la position et je sens qu’elle me tire comme elle le ferait avec un chien et me fait entrer dans l’appartement. Je suis déstabilisé, surpris par ce qui se passe, excité ; je bande presque douloureusement.
Elle me promène, cherche à me désorienter. Ses petits coups secs dans la laisse veulent me montrer qui est le maître, et… ça marche ; il n’y a déjà plus rien en moi qui cherche à résister ou à garder le contrôle.
— Reste là, ne bouge pas !
Je sens qu’elle vient par derrière placer quelque chose autour de mes testicules ; une ficelle, un élastique, un petit foulard ? Difficile à définir. Sans ménagement, elle serre, serre encore, et trouve l’exquis point entre la douleur supportable et celle qui ne l’est pas. Je sens mes couilles tendues comme jamais, mon sexe est gorgé de sang.
En revenant à côté de moi, elle pose un ...