De chaudes études - 4 - Histoires de Sexe

De chaudes études - 4

... que de la lâcher en moi. Quand je m’arrête enfin de remuer, ils ralentissent eux aussi la cadence, et Drake s’extirpe de mes entrailles avant de partir se rincer en vitesse, tandis que Shane m’invite à me relever. J’abandonne à regret son puissant membre, et vais rejoindre Helen. Derrière, ma toute belle qui hurlait sous les coups de bassin de Warren qui la prenait en missionnaire a aussi été libérée, et elle vient compléter notre trio. Elle demande :

— Pourquoi on s’est arrêté ?
— Moi aussi, je veux ma dose d’homme, claironne Helen. Avec les mecs, on a préparé un petit final sympa ! À genoux, mes sœurs !

Que faire, hormis obtempérer ? Nous nous agenouillons donc en rang d’oignons, épaules contre épaules, dans les douches communes. Je ne résiste pas à la tentation de goûter une fois encore l’épiderme couvert de sueur de ma toute belle, mais Helen nous interrompt, réprobatrice. Les garçons nous rejoignent alors et se plantent devant nous, Shane faisant face à Myriam, Warren devant Helen et Drake promenant une fois encore sa virilité sous mes yeux.

— Prêtes, les filles ? demande Shane, un large sourire sur les lèvres et la queue à la main.
— Allez-y ! s’écrie Helen.

Les trois hommes se masturbent frénétiquement, leurs engins luisant de nos sécrétions glissant entre leurs doigts. Nous essayons de happer les glands quand ils nous passent devant, mais ils s’amusent à s’esquiver au dernier moment. Ils se tripotent le dard de plus en plus fort, et je peux voir leurs ...

... organes enfler et atteindre les spasmes ultimes : leur jouissance est proche ! Et en effet, de longues giclées blanches jaillissent bientôt des trois membres et viennent s’écraser sur nos visages. Helen semble savourer cette semence qui recouvre son visage et elle ouvre grand la bouche pour inviter nos mecs à la lui remplir. Myriam et moi, on est plus mesurée. Ma toute belle ne sait plus vraiment où se mettre, et moi-même, je sens les jets heurter mon visage et ma gorge – de l’extérieur, pour une fois – sans vraiment comprendre ce que peut bien y trouver ma copine de chambrée. C’est rigolo, ok, mais je préfère partager l’orgasme de mon partenaire en accueillant sa jouissance en moi. Au moment où Helen se penche sur moi pour laper mon visage couvert de sperme, je lui glisse à l’oreille :

— Ça te plaît vraiment, ce genre de trucs ?
— Bien sûr ! Tu ne sens pas à quel point on les domine, là ?
— À genoux et couverte de leur foutre, non, pas des masses.
— Ah, ma petite padawan blondinette… maintenant qu’ils t’ont vue comme ça, à genoux et couverte de leur foutre, comme tu dis, ils vont se dire que tu n’es qu’une petite catin bonne qu’à ça.
— Ah ouais, bravo la domination !
— Mais oui ! Un homme qui t’a vue comme ça est persuadé de sa force et de ta soumission. Du coup, il baisse sa garde et, pour peu que tu saches le manœuvrer, tu pourras en tirer tout ce que tu voudras !
— Mouais… je demande à voir.
— Alors ouvre bien les yeux !

Ayant fini de se sécher, c’est-à-dire de ...