De chaudes études - 3
Datte: 31/05/2019,
Catégories:
fff,
grp,
fbi,
jeunes,
grossexe,
école,
Oral
fdanus,
fsodo,
Partouze / Groupe
totalsexe,
Auteur: Jenny Pirate, Source: Revebebe
... contre, elle a eu le temps de se maquiller, elle, et le fard dont elle a enduit ses paupières risque de rendre fous les garçons… mais je n’ai pas le temps d’en rougir car elle me lance tout de suite :
— Désolée du retard, Jenny !
— Pas de problème, souris-je. Je viens juste d’arriver. Dis donc, tu t’es faite toute belle !
C’est finalement elle qui rougit du compliment :
— Merci, toi aussi ! J’aurais dû faire comme toi pour le maquillage, j’ai peur de faire pute comme ça…
— Mais non, tu es parfaite, dis-je pour la rassurer en savourant l’ironie intérieurement. Alors, on y va ?
— Ouaip ! Suis-moi, les vestiaires de football sont par ici.
Frôlant ma main d’une caresse furtive mais qui n’en reste pas moins une caresse, elle me passe devant pour m’inviter à la suivre. Et comment ne pas répondre à une telle invitation ? Je m’engage à sa suite, ne pouvant m’empêcher de regarder l’ondulation de ses hanches alors qu’elle marche. Oui, je suis définitivement bi. Oui, je suis définitivement attirée par cette fille. Et non, je ne regrette définitivement pas d’être venue !
Nous pénétrons dans un bâtiment un peu à l’écart, le genre de bâtisse en préfabriqué qui fleurissent un peu partout sur les campus. On y trouve un long couloir gris, éclairé au néon, avec des traces d’humidité de partout.
— Eh bien c’est joyeux, comme cadre, dis-moi… fais-je remarquer à Myriam.
— Oui, pouffe-t-elle, mais ne t’en fais pas, c’est mieux, plus loin. Et puis, tu n’es pas venue pour le ...
... décor, si ?
— Non, mais de là à faire l’amour dans un coin aussi sordide…
— Attends, on est arrivé, dit-elle en poussant une porte.
Effectivement, c’est mieux. Les murs et le sol sont couverts de carrelage bleu et blanc, l’éclairage est naturel grâce aux vasistas et le coin est sensiblement plus propre. Normal, car je constate que nous sommes en fait dans les douches collectives, les bancs et casiers des vestiaires s’étalant sur notre gauche. Myriam se rend d’ailleurs sur un de ces bancs pour y déposer son sac et se poser un moment. Je choisis de l’imiter et m’assieds à côté d’elle.
— Je pensais que les garçons seraient déjà là, fais-je remarquer, étonnée.
— Moi aussi… je ne sais pas ce qu’ils font.
C’est drôle, sa voix tremble. D’ailleurs, c’est tout son corps qui tremble ! Est-elle si effarouchée ? Comme moi, a-t-elle voulu jeter son innocence aux orties, quitte à un peu trop brûler les étapes ?
— Tu as peur ? que je lui demande, d’une voix douce.
— Un peu… pas toi ?
— Un peu, aussi. Mais nous sommes toutes les deux, on va pouvoir se soutenir.
— Oui, merci d’être venue, me sourit-elle. Je crois que si tu n’avais pas été là, j’aurais annulé. Ça me rassure de ne pas être seule.
Oh non, tu n’es pas seule, ma toute belle. N’y tenant plus, je pose ma main sur sa joue et tourne son visage vers le mien puis, rivant mes prunelles au fond des siennes, j’embrasse ses douces lèvres. D’abord surprise, elle me rend mon baiser, et je sens sa langue passer mes dents et ...