1. Mise en bouche pour Capucine


    Datte: 30/05/2019, Catégories: fhhh, inconnu, nympho, fépilée, hotel, voiture, collection, Masturbation Oral extraconj, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... queues bien tendues et bien gonflées de convoitise, toutes à sa disposition. Celles-ci ne sont que pour elle, et d’ailleurs elle en profite allègrement ! C’est un vrai délice que de la voir prendre toutes ces bites en main, de les sentir palpiter sous ses doigts, entre ses lèvres. Je vois bien qu’elle adore goûter leurs diverses saveurs, certaines plus sucrées, d’autres plus aigres, allant des jus épais aux plus liquides. Les autres queues qu’elle ne manipule pas de ses doigts et de ses lèvres se frottent sans vergogne sur son corps, laissant une trace humide. Certains éjaculent même carrément sur elle, sa peau devenant petit à petit de plus en plus luisante.
    
    Le dernier invité vient de partir. Le silence retombe dans la chambre, un silence reposant. Un peu vidée par tous ces événements, vautrée dans le lit, Capucine est étendue sur le dos, les bras en croix. Je m’assieds à côté d’elle :
    
    — Félicitations ! Tu as assuré comme une championne !
    — Comme une pute, tu veux dire…
    
    Pour toute réponse, je me contente de lui caresser la joue, même si celle-ci est quand même un peu collante. Je continue sur ma lancée :
    
    — Ton mari passe franchement à côté de pas mal de choses… Quand je pense à tout ce qu’il rate, mais bon, je ne vais pas me plaindre puisque c’est moi qui en profite. Et pas que moi, d’ailleurs…
    — Que veux-tu ! Mais si un certain de ses copains ne m’avait pas dévoyée, je serais restée comme lui, et quand on ne sait pas, c’est très bien comme ça.
    — Tu veux ...
    ... dire : rester plan-plan ?
    — J’aime mon mari, même si au lit, ce n’est pas précisément le Nirvana, mais il n’y a pas que le sexe dans une vie de couple…
    — Oui, mais ça aide…
    
    Je me penche sur elle pour l’embrasser. Notre baiser dure longtemps. Quand nos lèvres se décollent, elle dit, mutine :
    
    — Eh bien, toi, ça ne te fait pas fuir !
    — De quoi tu parles ?
    — Tous ces hommes et tout ce sperme !
    
    Je la bouscule pour venir me plaquer sur elle :
    
    — Et du sperme, tu vas encore en recevoir, crois-moi !
    — Ah bon ? Comment ça, cher monsieur ?
    — Comme ceci !
    
    Je me rue sur elle. Cette femme m’excite, elle m’allume, c’est indéniable. Quand je pense que je l’ai connue timide et effacée. Jamais, je n’aurais pensé qu’elle puisse devenir ma maîtresse et que ce soit moi qui l’aide à devenir petit à petit une splendide dévergondée. Je songe alors qu’elle risque de dépasser la frontière que je croyais inaccessible.
    
    En attendant de la voir franchir cette frontière, je me fais un plaisir de me vautrer sur elle, entre ses jambes, sans trop d’égards, puis d’un bon coup de reins, j’entre sans effort en elle, tant son entrée est humide, complètement liquide. C’est si bon d’être en elle !
    
    — C’est si bon d’être en toi, tu sais ?
    — Pourtant tu commences à connaître les lieux, non ?
    — Il y a des endroits et des choses dont on ne se lasse pas. Tu en fais partie !
    
    Je fais quelques va-et-vient. Il ne me faut pas longtemps pour constater que je ne vais pas résister longtemps. Alors ...
«12...6789»